L’automatisation à grande échelle : deux voies éprouvées vers le succès
Les organisations confrontées à un grand nombre de processus manuels répétitifs se tournent souvent vers l’automatisation pour libérer leurs employés et les affecter à des tâches plus productives. Le défi, cependant, consiste à mettre en œuvre l’automatisation de la manière la mieux adaptée à l’organisation. Quels processus doivent être prioritaires pour l’automatisation? Et les efforts devraient-ils être dirigés par des experts techniques ou par des experts en processus? Un examen attentif de la façon dont deux systèmes hospitaliers (le Mass General Brigham à Boston et le Mount Sinai à New York) ont adopté l’automatisation peut fournir des indices sur les approches qui pourraient fonctionner le mieux pour d’autres organisations, soutient un article de la MIT Sloan Management Review.
Les deux systèmes hospitaliers ont construit une capacité d’automatisation avec deux dimensions clés. L’une d’entre elles est un tableau de bord commun permettant d’évaluer et de mesurer l’impact des projets d’automatisation utilisant diverses technologies, notamment un logiciel d’automatisation robotisée de processus, la reconnaissance optique de caractères et l’intelligence artificielle. L’autre est une organisation qui rassemble les connaissances techniques et des processus nécessaires à la fois pour remplir le tableau de bord et pour mettre en œuvre les projets d’automatisation qui reçoivent des investissements de la part de l’organisation.
Les tableaux de bord sont importants, car ils fournissent aux travailleurs de première ligne un moyen de transformer leurs idées en actions et aux gestionnaires un moyen de mettre des garde-fous dans le processus de génération d’idées. La combinaison de divers ensembles de connaissances est importante pour la mise en œuvre de l’automatisation, car les experts en processus peuvent identifier les lacunes que les experts techniques ne peuvent pas voir.
L’approche de Mass General Brigham met en évidence la manière dont le fait de donner aux travailleurs de première ligne les moyens d’identifier les processus qui se prêtent bien à l’automatisation – et de les connecter à des compétences techniques – peut élargir et accélérer l’ensemble potentiel de processus qu’une organisation peut automatiser. L’engagement délibéré, par Mass General Brigham, de travailleurs possédant une connaissance des processus constitue une leçon pour Mount Sinai et d’autres organisations qui ont adopté une approche axée sur l’informatique.
La leçon de Mount Sinai, en revanche, est que le développement de connaissances techniques sur une variété d’outils d’automatisation à l’interne peut accélérer la capacité d’une organisation à résoudre des problèmes plus complexes. Même lorsque des organisations comme Mass General Brigham et Mount Sinai s’appuient principalement sur des logiciels de fournisseurs tiers annoncés comme nécessitant peu ou pas de changements de code, il s’avère que les connaissances techniques à l’interne sont essentielles pour identifier ce qui convient le mieux à l’automatisation.
Les organisations confrontées à un grand nombre de processus manuels répétitifs se tournent souvent vers l’automatisation pour libérer leurs employés et les affecter à des tâches plus productives. Le défi, cependant, consiste à mettre en œuvre l’automatisation de la manière la mieux adaptée à l’organisation. Quels processus doivent être prioritaires pour l’automatisation? Et les efforts devraient-ils être dirigés par des experts techniques ou par des experts en processus? Un examen attentif de la façon dont deux systèmes hospitaliers (le Mass General Brigham à Boston et le Mount Sinai à New York) ont adopté l’automatisation peut fournir des indices sur les approches qui pourraient fonctionner le mieux pour d’autres organisations, soutient un article de la MIT Sloan Management Review.
Les deux systèmes hospitaliers ont construit une capacité d’automatisation avec deux dimensions clés. L’une d’entre elles est un tableau de bord commun permettant d’évaluer et de mesurer l’impact des projets d’automatisation utilisant diverses technologies, notamment un logiciel d’automatisation robotisée de processus, la reconnaissance optique de caractères et l’intelligence artificielle. L’autre est une organisation qui rassemble les connaissances techniques et des processus nécessaires à la fois pour remplir le tableau de bord et pour mettre en œuvre les projets d’automatisation qui reçoivent des investissements de la part de l’organisation.
Les tableaux de bord sont importants, car ils fournissent aux travailleurs de première ligne un moyen de transformer leurs idées en actions et aux gestionnaires un moyen de mettre des garde-fous dans le processus de génération d’idées. La combinaison de divers ensembles de connaissances est importante pour la mise en œuvre de l’automatisation, car les experts en processus peuvent identifier les lacunes que les experts techniques ne peuvent pas voir.
L’approche de Mass General Brigham met en évidence la manière dont le fait de donner aux travailleurs de première ligne les moyens d’identifier les processus qui se prêtent bien à l’automatisation – et de les connecter à des compétences techniques – peut élargir et accélérer l’ensemble potentiel de processus qu’une organisation peut automatiser. L’engagement délibéré, par Mass General Brigham, de travailleurs possédant une connaissance des processus constitue une leçon pour Mount Sinai et d’autres organisations qui ont adopté une approche axée sur l’informatique.
La leçon de Mount Sinai, en revanche, est que le développement de connaissances techniques sur une variété d’outils d’automatisation à l’interne peut accélérer la capacité d’une organisation à résoudre des problèmes plus complexes. Même lorsque des organisations comme Mass General Brigham et Mount Sinai s’appuient principalement sur des logiciels de fournisseurs tiers annoncés comme nécessitant peu ou pas de changements de code, il s’avère que les connaissances techniques à l’interne sont essentielles pour identifier ce qui convient le mieux à l’automatisation.