L’arrivée des robots humanoïdes sur le marché de l’emploi serait prévisible, mais pas imminente
Un article de PYMNTS commente les implications que pourrait avoir l’introduction de robots humanoïdes alimentés par l’intelligence artificielle (IA) dans les magasins de détail. Apparemment, les entreprises évaluent déjà le potentiel des robots humanoïdes pour l’exécution des tâches liées au service à la clientèle. Il est à noter cependant que d’autres secteurs, comme l’industrie automobile, analysent de près les applications possibles des robots humanoïdes dans la production.
Selon les experts, cela soulève un débat sur l’avenir du travail et du commerce, bien que les implications puissent varier selon leur taux d’adoption. Étant donné les défis technologiques et les enjeux liés d’adaptation de la main-d’œuvre et d’acceptation des clients, on privilégie, à l’heure actuelle, une intégration progressive plutôt qu’une révolution rapide.
L’article note que l’intégration des robots dans l’industrie, qui est perceptible depuis plusieurs décennies, offre des résultats très complexes. En effet, la robotisation aurait tendance à créer, simultanément, des emplois hautement qualifiés et bien rémunérés, ainsi que des emplois plus précaires. De là l’intérêt des experts à comprendre l’impact qu’aurait sur le marché de l’emploi la proposition de nouveaux robots sophistiqués pilotés par l’IA.
Malgré l’enthousiasme qu’ils suscitent, les experts pensent que l’adoption généralisée de ces robots pourrait prendre bien plus de temps que prévu, en raison notamment du décalage entre les capacités actuelles et les exigences de l’industrie. Par exemple, on pense que l’intégration des robots dans les entrepôts, où l’automatisation est très intense, devrait prendre encore cinq ans environ.
Une situation semblable serait perceptible dans le service à la clientèle, où les experts soulignent que si la technologie n’est pas capable de répondre aux questions et aux besoins des clients, ceux-ci iront chercher un meilleur service ailleurs. C’est précisément ce qui arrive avec de nombreux systèmes adoptés par les entreprises, tels que les agents conversationnels ou les menus vocaux sur téléphone.
Est également à considérer le défi de gérer la reconversion des employés qui seront remplacés par des robots. Les experts estiment que la robotisation créerait de nouveaux rôles de soutien qui pourraient contrebalancer le potentiel de suppression d’emplois. De même, cela offrirait aux employés la chance de parfaire leurs compétences dans un environnement peuplé de robots humanoïdes.
Au-delà de ces contraintes, les experts souhaiteraient connaître les effets que produirait l’interaction des clients avec les robots. Des recherches récentes menées au Japon suggèrent que ce type d’interactions, même limitées, pourrait avoir une influence positive sur le comportement des clients. On note le cas d’une boulangerie où l’intégration d’un robot humanoïde n’a pas fait augmenter le nombre de clients, mais où ceux-ci se sont montrés satisfaits de la qualité des recommandations qu’ils ont reçues.
Ultimement, l’article signale que le facteur décisif qui facilitera l’intégration des robots commerciaux est sa contribution à une économie axée sur le PIB. Autrement dit, les robots seront acceptés dans la mesure où ils pourront exécuter efficacement des tâches qui seraient trop coûteuses pour que les humains puissent bien les faire, notamment, les tâches d’entretien et de soins.
Un article de PYMNTS commente les implications que pourrait avoir l’introduction de robots humanoïdes alimentés par l’intelligence artificielle (IA) dans les magasins de détail. Apparemment, les entreprises évaluent déjà le potentiel des robots humanoïdes pour l’exécution des tâches liées au service à la clientèle. Il est à noter cependant que d’autres secteurs, comme l’industrie automobile, analysent de près les applications possibles des robots humanoïdes dans la production.
Selon les experts, cela soulève un débat sur l’avenir du travail et du commerce, bien que les implications puissent varier selon leur taux d’adoption. Étant donné les défis technologiques et les enjeux liés d’adaptation de la main-d’œuvre et d’acceptation des clients, on privilégie, à l’heure actuelle, une intégration progressive plutôt qu’une révolution rapide.
L’article note que l’intégration des robots dans l’industrie, qui est perceptible depuis plusieurs décennies, offre des résultats très complexes. En effet, la robotisation aurait tendance à créer, simultanément, des emplois hautement qualifiés et bien rémunérés, ainsi que des emplois plus précaires. De là l’intérêt des experts à comprendre l’impact qu’aurait sur le marché de l’emploi la proposition de nouveaux robots sophistiqués pilotés par l’IA.
Malgré l’enthousiasme qu’ils suscitent, les experts pensent que l’adoption généralisée de ces robots pourrait prendre bien plus de temps que prévu, en raison notamment du décalage entre les capacités actuelles et les exigences de l’industrie. Par exemple, on pense que l’intégration des robots dans les entrepôts, où l’automatisation est très intense, devrait prendre encore cinq ans environ.
Une situation semblable serait perceptible dans le service à la clientèle, où les experts soulignent que si la technologie n’est pas capable de répondre aux questions et aux besoins des clients, ceux-ci iront chercher un meilleur service ailleurs. C’est précisément ce qui arrive avec de nombreux systèmes adoptés par les entreprises, tels que les agents conversationnels ou les menus vocaux sur téléphone.
Est également à considérer le défi de gérer la reconversion des employés qui seront remplacés par des robots. Les experts estiment que la robotisation créerait de nouveaux rôles de soutien qui pourraient contrebalancer le potentiel de suppression d’emplois. De même, cela offrirait aux employés la chance de parfaire leurs compétences dans un environnement peuplé de robots humanoïdes.
Au-delà de ces contraintes, les experts souhaiteraient connaître les effets que produirait l’interaction des clients avec les robots. Des recherches récentes menées au Japon suggèrent que ce type d’interactions, même limitées, pourrait avoir une influence positive sur le comportement des clients. On note le cas d’une boulangerie où l’intégration d’un robot humanoïde n’a pas fait augmenter le nombre de clients, mais où ceux-ci se sont montrés satisfaits de la qualité des recommandations qu’ils ont reçues.
Ultimement, l’article signale que le facteur décisif qui facilitera l’intégration des robots commerciaux est sa contribution à une économie axée sur le PIB. Autrement dit, les robots seront acceptés dans la mesure où ils pourront exécuter efficacement des tâches qui seraient trop coûteuses pour que les humains puissent bien les faire, notamment, les tâches d’entretien et de soins.