L’argent devient l’une des pierres angulaires de la technologie durable
Carbon Credits analyse le rôle décisif que pourrait jouer l’argent, un métal précieux, dans la technologie durable. Apparemment, la conductivité inégalée de ce métal et son application dans les cellules photovoltaïques le positionnent comme un acteur clé de la transition vers les énergies renouvelables. D’ailleurs, la corrélation directe entre sa valeur marchande et son importance environnementale explique la trajectoire de son prix, qui a atteint 27 dollars l’once.
Dans ce contexte, on suggère que le potentiel de ce métal, qui est autant un actif financier qu’un cheval de bataille industriel, mérite un examen plus approfondi de la part des investisseurs, des décideurs politiques et des parties prenantes de l’industrie.
Carbon Credits note qu’alors que les industries se tournent vers des solutions respectueuses de l’environnement, les propriétés conductrices et réfléchissantes de l’argent semblent avoir déclenché une demande sans précédent, en particulier dans les secteurs cruciaux pour réduire l’empreinte carbone. Bref, ce métal, autrefois réservé aux bijoux et à la monnaie, devient désormais un élément essentiel des panneaux solaires et des véhicules électriques. Apparemment, plus de 50 % de l’argent sert aux besoins industriels, alimentant des secteurs allant de l’électronique à la métallurgie.
Pour saisir cette évolution, il faut d’abord comprendre que l’argent occupe une position unique dans le domaine des métaux en raison de sa résistance électrique exceptionnellement faible aux températures standard. Cette caractéristique rend ce métal particulièrement approprié pour les panneaux solaires, qui dépendent fortement de la conductivité.
Cela explique sa forte demande dans l’industrie solaire, passée de 5 % de la demande totale en 2014 à environ 14 % fin 2023. De son côté, BloombergNEF estime que, sur la base de l’estimation d’une demande actuelle de 12 tonnes par gigawatt de capacité solaire, la demande d’argent dans les panneaux solaires pourrait augmenter de près de 169 % d’ici 2030. Cela équivaudrait à environ 273 millions d’onces d’argent, soit environ un cinquième de la demande totale d’argent.
Il est à noter également que des chercheurs de l’University College London explorent la stabilité à haute température de l’argent et son utilisation dans les membranes innovantes qui sont capables de séparer le dioxyde de carbone des autres gaz. Selon Carbon Credits, cette approche pourrait être cruciale pour des industries comme celles de l’acier et du ciment, qui sont plus lentes à passer aux énergies renouvelables.
Enfin, la géopolitique de l’argent semble complexe. Carbon Credits note que les pays producteurs d’argent en Amérique latine – le Chili, l’Argentine, le Mexique et le Pérou –, qui sont essentiels à l’approvisionnement mondial en argent, font face à un contexte politique instable où les risques opérationnels sont très grands.
Carbon Credits analyse le rôle décisif que pourrait jouer l’argent, un métal précieux, dans la technologie durable. Apparemment, la conductivité inégalée de ce métal et son application dans les cellules photovoltaïques le positionnent comme un acteur clé de la transition vers les énergies renouvelables. D’ailleurs, la corrélation directe entre sa valeur marchande et son importance environnementale explique la trajectoire de son prix, qui a atteint 27 dollars l’once.
Dans ce contexte, on suggère que le potentiel de ce métal, qui est autant un actif financier qu’un cheval de bataille industriel, mérite un examen plus approfondi de la part des investisseurs, des décideurs politiques et des parties prenantes de l’industrie.
Carbon Credits note qu’alors que les industries se tournent vers des solutions respectueuses de l’environnement, les propriétés conductrices et réfléchissantes de l’argent semblent avoir déclenché une demande sans précédent, en particulier dans les secteurs cruciaux pour réduire l’empreinte carbone. Bref, ce métal, autrefois réservé aux bijoux et à la monnaie, devient désormais un élément essentiel des panneaux solaires et des véhicules électriques. Apparemment, plus de 50 % de l’argent sert aux besoins industriels, alimentant des secteurs allant de l’électronique à la métallurgie.
Pour saisir cette évolution, il faut d’abord comprendre que l’argent occupe une position unique dans le domaine des métaux en raison de sa résistance électrique exceptionnellement faible aux températures standard. Cette caractéristique rend ce métal particulièrement approprié pour les panneaux solaires, qui dépendent fortement de la conductivité.
Cela explique sa forte demande dans l’industrie solaire, passée de 5 % de la demande totale en 2014 à environ 14 % fin 2023. De son côté, BloombergNEF estime que, sur la base de l’estimation d’une demande actuelle de 12 tonnes par gigawatt de capacité solaire, la demande d’argent dans les panneaux solaires pourrait augmenter de près de 169 % d’ici 2030. Cela équivaudrait à environ 273 millions d’onces d’argent, soit environ un cinquième de la demande totale d’argent.
Il est à noter également que des chercheurs de l’University College London explorent la stabilité à haute température de l’argent et son utilisation dans les membranes innovantes qui sont capables de séparer le dioxyde de carbone des autres gaz. Selon Carbon Credits, cette approche pourrait être cruciale pour des industries comme celles de l’acier et du ciment, qui sont plus lentes à passer aux énergies renouvelables.
Enfin, la géopolitique de l’argent semble complexe. Carbon Credits note que les pays producteurs d’argent en Amérique latine – le Chili, l’Argentine, le Mexique et le Pérou –, qui sont essentiels à l’approvisionnement mondial en argent, font face à un contexte politique instable où les risques opérationnels sont très grands.