L'approche de gestion active de l'énergie offrirait aux entreprises des économies notables
Un article de SmartIndustry explore les approches de gestion active de l'énergie qui permettraient aux entreprises de faire des économies substantielles à partir de l'analyse des données en temps réel associées aux points de gaspillage dans les processus de production.
Cette approche contraste avec la lecture passive de la facture d'électricité, qui offre une image incomplète de l'utilisation d'énergie dans les opérations de fabrication. Par exemple, il est difficile de savoir combien d'énergie est consommée pour produire un bon produit, un mauvais produit ou même aucun produit du tout.
Cela peut changer grâce à l'utilisation efficace des données en temps réel, qui permettrait, en plus, de mieux répondre aux exigences en matière de durabilité et aux nouvelles réglementations environnementales dans le but d'atteindre un jour la carboneutralité.
Dans l'obtention des données en temps réel, un rôle majeur revient à des innovations comme les objets énergétiques, qui permettent, essentiellement, de transformer le matériel déjà sur place en nouveaux compteurs. Plus précisément, il s'agit de codes, disponibles gratuitement, qui donnent accès aux données énergétiques de toute sorte de matériel électrique comme les variateurs, les dispositifs de protection contre les surcharges et les disjoncteurs. Les données ainsi obtenues permettent d'obtenir un portrait assez précis de l'envergure de la consommation d'énergie pour la production.
Selon SmartIndustry, un logiciel de gestion de l'énergie permet aux entreprises de créer une base de référence de leur consommation énergétique normale. Celui-ci doit être capable de lire, de stocker et d'analyser les données énergétiques, puis de les présenter de façon lisible aux utilisateurs de l'entreprise. Ce logiciel doit également s'aligner sur des normes telles qu'ISO 50001, et disposer de fonctionnalités de transmission des données intégrées pour faciliter la conformité. Enfin, ce logiciel peut être déployé sur place ou par l'intermédiaire de l'infonuagique.
Bref, l'objectif de ce logiciel est d'identifier les points de haute consommation énergétique ainsi que ceux où il y a un gaspillage potentiel. De plus, l'ajout de l'intelligence artificielle (IA) et de l'apprentissage automatique peut accroître encore les économies.
SmartIndustry offre l'exemple d'une usine de traitement de l'eau et des eaux usées aux États-Unis où les opérateurs devaient réinitialiser manuellement les points de consigne lorsque les conditions changeaient. Le gaspillage d'énergie que cela provoquait a été résolu par la mise en place d'un système d'IA capable de surveiller en permanence l'état actuel des opérations et d'ajuster les contrôles à mesure que les conditions changent. L'usine a réduit sa consommation d'électricité de 2 200 kilowattheures par jour et a généré 100 000 $ d'économies en ce qui concerne sa consommation de produits chimiques et d'énergie.
Enfin, le premier pas dans l'implantation d'une approche de gestion active serait, selon SmartIndustry, l'évaluation de l'infrastructure existante, des machines et des capteurs afin d'identifier les aspects lacunaires, le type de données générées et la manière dont celles-ci peuvent répondre aux besoins de gestion de l'énergie de l'entreprise.
Un article de SmartIndustry explore les approches de gestion active de l'énergie qui permettraient aux entreprises de faire des économies substantielles à partir de l'analyse des données en temps réel associées aux points de gaspillage dans les processus de production.
Cette approche contraste avec la lecture passive de la facture d'électricité, qui offre une image incomplète de l'utilisation d'énergie dans les opérations de fabrication. Par exemple, il est difficile de savoir combien d'énergie est consommée pour produire un bon produit, un mauvais produit ou même aucun produit du tout.
Cela peut changer grâce à l'utilisation efficace des données en temps réel, qui permettrait, en plus, de mieux répondre aux exigences en matière de durabilité et aux nouvelles réglementations environnementales dans le but d'atteindre un jour la carboneutralité.
Dans l'obtention des données en temps réel, un rôle majeur revient à des innovations comme les objets énergétiques, qui permettent, essentiellement, de transformer le matériel déjà sur place en nouveaux compteurs. Plus précisément, il s'agit de codes, disponibles gratuitement, qui donnent accès aux données énergétiques de toute sorte de matériel électrique comme les variateurs, les dispositifs de protection contre les surcharges et les disjoncteurs. Les données ainsi obtenues permettent d'obtenir un portrait assez précis de l'envergure de la consommation d'énergie pour la production.
Selon SmartIndustry, un logiciel de gestion de l'énergie permet aux entreprises de créer une base de référence de leur consommation énergétique normale. Celui-ci doit être capable de lire, de stocker et d'analyser les données énergétiques, puis de les présenter de façon lisible aux utilisateurs de l'entreprise. Ce logiciel doit également s'aligner sur des normes telles qu'ISO 50001, et disposer de fonctionnalités de transmission des données intégrées pour faciliter la conformité. Enfin, ce logiciel peut être déployé sur place ou par l'intermédiaire de l'infonuagique.
Bref, l'objectif de ce logiciel est d'identifier les points de haute consommation énergétique ainsi que ceux où il y a un gaspillage potentiel. De plus, l'ajout de l'intelligence artificielle (IA) et de l'apprentissage automatique peut accroître encore les économies.
SmartIndustry offre l'exemple d'une usine de traitement de l'eau et des eaux usées aux États-Unis où les opérateurs devaient réinitialiser manuellement les points de consigne lorsque les conditions changeaient. Le gaspillage d'énergie que cela provoquait a été résolu par la mise en place d'un système d'IA capable de surveiller en permanence l'état actuel des opérations et d'ajuster les contrôles à mesure que les conditions changent. L'usine a réduit sa consommation d'électricité de 2 200 kilowattheures par jour et a généré 100 000 $ d'économies en ce qui concerne sa consommation de produits chimiques et d'énergie.
Enfin, le premier pas dans l'implantation d'une approche de gestion active serait, selon SmartIndustry, l'évaluation de l'infrastructure existante, des machines et des capteurs afin d'identifier les aspects lacunaires, le type de données générées et la manière dont celles-ci peuvent répondre aux besoins de gestion de l'énergie de l'entreprise.