La résilience du secteur manufacturier après la COVID-19 dépend de la maîtrise des technologies numériques disruptives
American Machinist commente le moment particulier que traverse l’industrie manufacturière et les défis qu’elle doit réussir à résoudre de façon urgente :
- La pénurie sévère de travailleurs découlant de la contraction démographique de la population occidentale, un phénomène qui commence à être perceptible ailleurs dans le monde;
- L’affrontement économique entre la Chine et les États-Unis, qui a été déclenché par le gouvernement américain avec l’imposition de tarifs douaniers et d’autres barrières commerciales en 2018;
- La démocratisation de l’intelligence artificielle (IA), qui émerge comme un puissant outil capable de gérer des environnements de données complexes et d’offrir aux individus des capacités qui dépassent leur horizon mental;
- Les efforts en cours pour limiter le réchauffement climatique et la mise en place de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
De plus, ces défis doivent être gérés dans l’environnement d’incertitude créé par la COVID-19, un évènement auquel l’industrie manufacturière et la plupart des chaînes de fabrication et d’approvisionnement n’étaient pas du tout préparées. Ce sont précisément les contraintes imposées par la crise sanitaire qui ont accéléré le virage numérique, propulsant une panoplie d’inventions et d’innovations et l’introduction de nouvelles formes flexibles de collaboration. Le numérique est devenu un élément indissociable des opérations, de la R-D et de l’interaction avec les clients.
C’est pourquoi, selon American Machinist, l’avenir de l’industrie manufacturière repose sur l’exploitation intensive de technologies révolutionnaires qui rendent possible la mise en place de solutions collaboratives basées sur l’infonuagique, l’automatisation sans intervention humaine et les jumeaux numériques pour le prototypage, la simulation et la mise en service de nouvelles technologies. Bref, la connectivité et la disponibilité des données sont devenues des piliers de la gestion de la fabrication et de la chaîne d’approvisionnement.
C’est donc la maîtrise des technologies numériques qui a contribué à la résilience du secteur manufacturier et a permis de reprendre la gestion des chaînes d’approvisionnement après la pandémie. Cependant, les troubles géopolitiques ont engendré de nouveaux défis dont la manifestation la plus saillante est probablement la vague de protectionnisme commercial et manufacturier.
En effet, les pays investissent pour rester compétitifs, en particulier dans le domaine de l’énergie et dans d’autres secteurs critiques comme les puces, les batteries électriques et la défense. De plus, le rapatriement et le rapprochement de la production (onshoring et near-shoring) sont la preuve que le monde n’est pas près de revenir à la situation des années 2010.
American Machinist commente le moment particulier que traverse l’industrie manufacturière et les défis qu’elle doit réussir à résoudre de façon urgente :
- La pénurie sévère de travailleurs découlant de la contraction démographique de la population occidentale, un phénomène qui commence à être perceptible ailleurs dans le monde;
- L’affrontement économique entre la Chine et les États-Unis, qui a été déclenché par le gouvernement américain avec l’imposition de tarifs douaniers et d’autres barrières commerciales en 2018;
- La démocratisation de l’intelligence artificielle (IA), qui émerge comme un puissant outil capable de gérer des environnements de données complexes et d’offrir aux individus des capacités qui dépassent leur horizon mental;
- Les efforts en cours pour limiter le réchauffement climatique et la mise en place de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
De plus, ces défis doivent être gérés dans l’environnement d’incertitude créé par la COVID-19, un évènement auquel l’industrie manufacturière et la plupart des chaînes de fabrication et d’approvisionnement n’étaient pas du tout préparées. Ce sont précisément les contraintes imposées par la crise sanitaire qui ont accéléré le virage numérique, propulsant une panoplie d’inventions et d’innovations et l’introduction de nouvelles formes flexibles de collaboration. Le numérique est devenu un élément indissociable des opérations, de la R-D et de l’interaction avec les clients.
C’est pourquoi, selon American Machinist, l’avenir de l’industrie manufacturière repose sur l’exploitation intensive de technologies révolutionnaires qui rendent possible la mise en place de solutions collaboratives basées sur l’infonuagique, l’automatisation sans intervention humaine et les jumeaux numériques pour le prototypage, la simulation et la mise en service de nouvelles technologies. Bref, la connectivité et la disponibilité des données sont devenues des piliers de la gestion de la fabrication et de la chaîne d’approvisionnement.
C’est donc la maîtrise des technologies numériques qui a contribué à la résilience du secteur manufacturier et a permis de reprendre la gestion des chaînes d’approvisionnement après la pandémie. Cependant, les troubles géopolitiques ont engendré de nouveaux défis dont la manifestation la plus saillante est probablement la vague de protectionnisme commercial et manufacturier.
En effet, les pays investissent pour rester compétitifs, en particulier dans le domaine de l’énergie et dans d’autres secteurs critiques comme les puces, les batteries électriques et la défense. De plus, le rapatriement et le rapprochement de la production (onshoring et near-shoring) sont la preuve que le monde n’est pas près de revenir à la situation des années 2010.