La recherche de la carboneutralité fait augmenter les prix du cuivre
CarbonCredits analyse l’augmentation du prix du cuivre en raison de son rôle incontournable dans la production de technologies propres qui sont cruciales pour atteindre la carboneutralité. En plus de la dynamique du marché, il faudrait mentionner également les problèmes d’approvisionnement à l’échelle mondiale comme facteur ayant propulsé les prix de ce métal à la hausse.
En effet, on note les effets occasionnés par la fermeture de la mine Cobre Panama, une source mondiale de cuivre, qui a fait en sorte que le marché est passé d’excédentaire à déficitaire. De plus, en mars, les fonderies chinoises auraient décidé de réduire leur production en raison d’une pénurie de concentrés, ce qui s’est répercuté encore sur les prix.
Cependant, hormis les problèmes d’approvisionnement, CarbonCredits met en relief le rôle du cuivre dans la transition vers la carboneutralité comme facteur décisif à long terme. En effet, malgré la disponibilité de solutions de rechange plus rentables comme l’aluminium, les propriétés particulières du cuivre – notamment sa conductivité électrique élevée, son efficacité thermique et sa recyclabilité – font de lui une composante essentielle pour les systèmes d’énergie renouvelable, les véhicules électriques et le développement des infrastructures.
Les véhicules électriques, par exemple, dépendent fortement du cuivre pour des composants tels que les moteurs, les onduleurs et le câblage électrique. On note en effet qu’une voiture moyenne contient environ 65 livres (29 kilogrammes) de cuivre. De plus, ce métal est absolument essentiel dans la mise en place de systèmes de réseau avancés capables de gérer l’électricité provenant de sources renouvelables décentralisées comme les parcs solaires photovoltaïques et éoliens. Ces infrastructures nécessitent plus de cuivre par unité d’énergie produite que les centrales électriques traditionnelles.
Dans ce contexte, les experts prévoient que la demande de cuivre devrait dépasser la croissance de l’offre, ce qui fait planer la menace d’éventuelles pénuries. CarbonCredits signale que pour atteindre les objectifs ambitieux de carboneutralité d’ici 2035, la demande annuelle de cuivre pourrait devoir doubler pour atteindre 50 millions de tonnes, selon les estimations de l’industrie.
Cette explosion de la demande met en relief la pertinence d’effectuer des investissements stratégiques dans la production et le recyclage du cuivre pour soutenir la transition mondiale vers des sources d’énergie durables et atteindre les objectifs de carboneutralité. CarbonCredits estime que combler un déficit d’approvisionnement annuel prévu de 8 millions de tonnes au cours de la prochaine décennie pourrait nécessiter un investissement colossal de 150 milliards de dollars.
D’ailleurs, bien que le recyclage du cuivre augmente, il est peu probable que ce soit suffisant, l’exploitation minière primaire restant la principale source d’approvisionnement. Pourtant, l’expansion de l’exploitation minière du cuivre se heurte à des obstacles, notamment, la diminution de la concentration de minerai, qui fait en sorte que des opérations minières plus étendues sont nécessaires pour produire le même rendement. De plus, les préoccupations environnementales entourant les activités minières freinent l’enthousiasme des investisseurs.
CarbonCredits analyse l’augmentation du prix du cuivre en raison de son rôle incontournable dans la production de technologies propres qui sont cruciales pour atteindre la carboneutralité. En plus de la dynamique du marché, il faudrait mentionner également les problèmes d’approvisionnement à l’échelle mondiale comme facteur ayant propulsé les prix de ce métal à la hausse.
En effet, on note les effets occasionnés par la fermeture de la mine Cobre Panama, une source mondiale de cuivre, qui a fait en sorte que le marché est passé d’excédentaire à déficitaire. De plus, en mars, les fonderies chinoises auraient décidé de réduire leur production en raison d’une pénurie de concentrés, ce qui s’est répercuté encore sur les prix.
Cependant, hormis les problèmes d’approvisionnement, CarbonCredits met en relief le rôle du cuivre dans la transition vers la carboneutralité comme facteur décisif à long terme. En effet, malgré la disponibilité de solutions de rechange plus rentables comme l’aluminium, les propriétés particulières du cuivre – notamment sa conductivité électrique élevée, son efficacité thermique et sa recyclabilité – font de lui une composante essentielle pour les systèmes d’énergie renouvelable, les véhicules électriques et le développement des infrastructures.
Les véhicules électriques, par exemple, dépendent fortement du cuivre pour des composants tels que les moteurs, les onduleurs et le câblage électrique. On note en effet qu’une voiture moyenne contient environ 65 livres (29 kilogrammes) de cuivre. De plus, ce métal est absolument essentiel dans la mise en place de systèmes de réseau avancés capables de gérer l’électricité provenant de sources renouvelables décentralisées comme les parcs solaires photovoltaïques et éoliens. Ces infrastructures nécessitent plus de cuivre par unité d’énergie produite que les centrales électriques traditionnelles.
Dans ce contexte, les experts prévoient que la demande de cuivre devrait dépasser la croissance de l’offre, ce qui fait planer la menace d’éventuelles pénuries. CarbonCredits signale que pour atteindre les objectifs ambitieux de carboneutralité d’ici 2035, la demande annuelle de cuivre pourrait devoir doubler pour atteindre 50 millions de tonnes, selon les estimations de l’industrie.
Cette explosion de la demande met en relief la pertinence d’effectuer des investissements stratégiques dans la production et le recyclage du cuivre pour soutenir la transition mondiale vers des sources d’énergie durables et atteindre les objectifs de carboneutralité. CarbonCredits estime que combler un déficit d’approvisionnement annuel prévu de 8 millions de tonnes au cours de la prochaine décennie pourrait nécessiter un investissement colossal de 150 milliards de dollars.
D’ailleurs, bien que le recyclage du cuivre augmente, il est peu probable que ce soit suffisant, l’exploitation minière primaire restant la principale source d’approvisionnement. Pourtant, l’expansion de l’exploitation minière du cuivre se heurte à des obstacles, notamment, la diminution de la concentration de minerai, qui fait en sorte que des opérations minières plus étendues sont nécessaires pour produire le même rendement. De plus, les préoccupations environnementales entourant les activités minières freinent l’enthousiasme des investisseurs.