La numérisation des systèmes d’exécution de la fabrication comme atout compétitif majeur pour les PME
Engineering.com souligne l’initiative d’un atelier d’usinage du Michigan, Pollington Machine & Tool, qui semble avoir accompli une percée dans la rationalisation de ses opérations grâce à l’adoption d’un logiciel – conçu par Pico MES – qui permet la numérisation des systèmes d’exécution de la fabrication.
Le remplacement des systèmes papier pour transmettre les instructions, une méthode utilisée encore par de nombreuses petites et moyennes entreprises (PME), contribuerait, selon Engineering.com, à rendre les instructions de travail plus visuelles, tout en permettant aux ateliers d’usinage de réaliser des économies dans les coûts d’impression par l’élimination des classeurs d’instructions papier.
Cette numérisation faciliterait également la connectivité des ateliers d’usinage avec une multitude de dispositifs opérationnels, et même avec l’infonuagique. En effet, selon un ingénieur de Pollington Machine & Tool, le grand atout de Pico MES est qu’il permet qu’une révision des instructions puisse apparaître instantanément sur plusieurs appareils distribués partout dans l’usine. De plus, puisque les instructions de travail sont désormais interactives, numériques et modifiables de façon instantanée, les ingénieurs de fabrication peuvent consacrer la majeure partie de leur journée à l’amélioration continue.
Un autre avantage de ce logiciel est qu’il permet de stocker l’historique des travaux sur une pièce usinée. Ainsi, grâce à la numérisation du code QR d’une pièce, l’opérateur est en mesure d’examiner quelles étapes ont été suivies dans l’usinage de la pièce et qui a été la personne responsable de chaque exécution. Cela permettrait d’augmenter la sécurité, de gagner du temps et de gaspiller moins de ressources.
Ces changements contribueraient à réduire les dépenses des PME manufacturières alors qu’elles sont frappées par l’inflation, tout en leur faisant gagner du temps. Augmenter l’efficacité des PME est un enjeu majeur, étant donné leur rôle décisif dans le secteur manufacturier.
Aux États-Unis, les PME représentent plus de 98 % des fabricants et peuvent se vanter de fabriquer un large éventail de composants essentiels pour les secteurs de l’aérospatiale, de l’automobile, de l’aviation et de la médecine.
De plus, il y aurait des inquiétudes relativement à la performance des ateliers d’usinage à la suite de la publication de données montrant que les commandes de technologies de fabrication sont en baisse de 31 % par rapport à décembre 2023 et de 3,7 % depuis janvier 2023.
Enfin, la collaboration avec les usines serait aussi très avantageuse pour les concepteurs de logiciels comme Pico MES. Celle-ci leur permettrait d’effectuer ce qu’on appelle de l’« ingénierie inverse », car les machines peuvent apporter des pistes précieuses sur la manière dont le logiciel pourrait être amélioré.
Engineering.com souligne l’initiative d’un atelier d’usinage du Michigan, Pollington Machine & Tool, qui semble avoir accompli une percée dans la rationalisation de ses opérations grâce à l’adoption d’un logiciel – conçu par Pico MES – qui permet la numérisation des systèmes d’exécution de la fabrication.
Le remplacement des systèmes papier pour transmettre les instructions, une méthode utilisée encore par de nombreuses petites et moyennes entreprises (PME), contribuerait, selon Engineering.com, à rendre les instructions de travail plus visuelles, tout en permettant aux ateliers d’usinage de réaliser des économies dans les coûts d’impression par l’élimination des classeurs d’instructions papier.
Cette numérisation faciliterait également la connectivité des ateliers d’usinage avec une multitude de dispositifs opérationnels, et même avec l’infonuagique. En effet, selon un ingénieur de Pollington Machine & Tool, le grand atout de Pico MES est qu’il permet qu’une révision des instructions puisse apparaître instantanément sur plusieurs appareils distribués partout dans l’usine. De plus, puisque les instructions de travail sont désormais interactives, numériques et modifiables de façon instantanée, les ingénieurs de fabrication peuvent consacrer la majeure partie de leur journée à l’amélioration continue.
Un autre avantage de ce logiciel est qu’il permet de stocker l’historique des travaux sur une pièce usinée. Ainsi, grâce à la numérisation du code QR d’une pièce, l’opérateur est en mesure d’examiner quelles étapes ont été suivies dans l’usinage de la pièce et qui a été la personne responsable de chaque exécution. Cela permettrait d’augmenter la sécurité, de gagner du temps et de gaspiller moins de ressources.
Ces changements contribueraient à réduire les dépenses des PME manufacturières alors qu’elles sont frappées par l’inflation, tout en leur faisant gagner du temps. Augmenter l’efficacité des PME est un enjeu majeur, étant donné leur rôle décisif dans le secteur manufacturier.
Aux États-Unis, les PME représentent plus de 98 % des fabricants et peuvent se vanter de fabriquer un large éventail de composants essentiels pour les secteurs de l’aérospatiale, de l’automobile, de l’aviation et de la médecine.
De plus, il y aurait des inquiétudes relativement à la performance des ateliers d’usinage à la suite de la publication de données montrant que les commandes de technologies de fabrication sont en baisse de 31 % par rapport à décembre 2023 et de 3,7 % depuis janvier 2023.
Enfin, la collaboration avec les usines serait aussi très avantageuse pour les concepteurs de logiciels comme Pico MES. Celle-ci leur permettrait d’effectuer ce qu’on appelle de l’« ingénierie inverse », car les machines peuvent apporter des pistes précieuses sur la manière dont le logiciel pourrait être amélioré.