La mesure des résultats et de l’impact social constitue le nouveau défi des entreprises de l’économie sociale et solidaire
Une publication de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Policy Guide on Social Impact Measurement for the Social and Solidarity Economy (2023), signale que les entreprises de l’économie sociale et solidaire (ESS) sont soumises à une pression croissante pour démontrer leur valeur ajoutée à la société, tout autant que les entreprises du secteur privé. Cela impose à ces organisations de planifier, mettre en œuvre et évaluer leur impact social et économique.
On note que les objectifs des entreprises de l’ESS, souvent de nature sociale ou environnementale, ne sont pas toujours faciles à suivre. C’est le cas, par exemple, des thématiques liées au bien-être, au développement de compétences subjectives (soft skills), à la confiance de la communauté ou au sentiment d’appartenance. Par contre, d’autres indicateurs de performance seraient plus faciles à saisir, comme les résultats sur le marché du travail, la pauvreté et les moyens de subsistance, l’accès aux services, le niveau d’éducation, la dégradation de l’environnement, l’empreinte carbone et l’utilisation des terres, entre autres.
Apparemment, la mesure des résultats attire davantage l’intérêt des décideurs, alors que ceux-ci accordent une attention renouvelée à la concurrence pour les contrats, le choix des utilisateurs et l’optimisation des ressources publiques. En même temps, les donateurs et investisseurs externes demandent qu’on leur présente des preuves concrètes de la manière dont les ressources sont utilisées et de l’ampleur des résultats obtenus.
D’ailleurs, la publication de l’OCDE souligne les avantages pour les organisations de l’économie sociale d’adopter, de façon proactive et volontaire, les principes de la mesure de l’impact social. Cela leur donnerait, en effet, la chance de générer de nouveaux apprentissages en plus d’améliorer leur promotion.
La publication avance l’idée qu’en adoptant une approche plus ou moins adaptée de mesure de l’impact, les entreprises de l’ESS pourraient comprendre quelle est la valeur nette supplémentaire générée par leurs activités dans la poursuite de leur mission. Plus précisément, selon le Comité économique et social européen, il s’agirait de mesurer les résultats et l’impact social créés par des activités particulières d’une entreprise de l’ESS, et non par les entreprises elles-mêmes.
Pour l’accélérateur des entreprises de l’ESS numériques SOGA, l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pourrait accélérer grandement le processus de quantification de la valeur sociale qui est créée et proposée à la société. Il s’agit d’une tâche réputée complexe et coûteuse tant sur le plan économique qu’en matière de ressources humaines. Elle devient pourtant une activité incontournable qui est au cœur de l’amélioration et de l’innovation du secteur de l’économie sociale.
Selon SOGA, les outils d’IA permettraient aux entreprises de l’ESS d’améliorer leurs pratiques et de mieux communiquer leur impact à leurs parties prenantes. En effet, puisque ces outils peuvent déjà analyser à grande échelle les sentiments exprimés par les parties prenantes, les entreprises de l’ESS pourraient analyser le ressenti d’un échantillon de la population à partir des données collectées sur les réseaux sociaux. Cela leur permettrait d’identifier des tendances sur l’impact des programmes, des services ou des efforts de collecte de fonds, mais aussi sur la manière dont ils sont perçus par la population.
Une publication de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Policy Guide on Social Impact Measurement for the Social and Solidarity Economy (2023), signale que les entreprises de l’économie sociale et solidaire (ESS) sont soumises à une pression croissante pour démontrer leur valeur ajoutée à la société, tout autant que les entreprises du secteur privé. Cela impose à ces organisations de planifier, mettre en œuvre et évaluer leur impact social et économique.
On note que les objectifs des entreprises de l’ESS, souvent de nature sociale ou environnementale, ne sont pas toujours faciles à suivre. C’est le cas, par exemple, des thématiques liées au bien-être, au développement de compétences subjectives (soft skills), à la confiance de la communauté ou au sentiment d’appartenance. Par contre, d’autres indicateurs de performance seraient plus faciles à saisir, comme les résultats sur le marché du travail, la pauvreté et les moyens de subsistance, l’accès aux services, le niveau d’éducation, la dégradation de l’environnement, l’empreinte carbone et l’utilisation des terres, entre autres.
Apparemment, la mesure des résultats attire davantage l’intérêt des décideurs, alors que ceux-ci accordent une attention renouvelée à la concurrence pour les contrats, le choix des utilisateurs et l’optimisation des ressources publiques. En même temps, les donateurs et investisseurs externes demandent qu’on leur présente des preuves concrètes de la manière dont les ressources sont utilisées et de l’ampleur des résultats obtenus.
D’ailleurs, la publication de l’OCDE souligne les avantages pour les organisations de l’économie sociale d’adopter, de façon proactive et volontaire, les principes de la mesure de l’impact social. Cela leur donnerait, en effet, la chance de générer de nouveaux apprentissages en plus d’améliorer leur promotion.
La publication avance l’idée qu’en adoptant une approche plus ou moins adaptée de mesure de l’impact, les entreprises de l’ESS pourraient comprendre quelle est la valeur nette supplémentaire générée par leurs activités dans la poursuite de leur mission. Plus précisément, selon le Comité économique et social européen, il s’agirait de mesurer les résultats et l’impact social créés par des activités particulières d’une entreprise de l’ESS, et non par les entreprises elles-mêmes.
Pour l’accélérateur des entreprises de l’ESS numériques SOGA, l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pourrait accélérer grandement le processus de quantification de la valeur sociale qui est créée et proposée à la société. Il s’agit d’une tâche réputée complexe et coûteuse tant sur le plan économique qu’en matière de ressources humaines. Elle devient pourtant une activité incontournable qui est au cœur de l’amélioration et de l’innovation du secteur de l’économie sociale.
Selon SOGA, les outils d’IA permettraient aux entreprises de l’ESS d’améliorer leurs pratiques et de mieux communiquer leur impact à leurs parties prenantes. En effet, puisque ces outils peuvent déjà analyser à grande échelle les sentiments exprimés par les parties prenantes, les entreprises de l’ESS pourraient analyser le ressenti d’un échantillon de la population à partir des données collectées sur les réseaux sociaux. Cela leur permettrait d’identifier des tendances sur l’impact des programmes, des services ou des efforts de collecte de fonds, mais aussi sur la manière dont ils sont perçus par la population.