La livraison robotisée propulsée par l’IA devrait dynamiser le commerce en ligne
Selon un article de PYMNTS, le déploiement de robots de livraison n’est pas un phénomène nouveau. Ceux-ci seraient, en fait, une composante logistique critique pour gérer le défi du « dernier kilomètre » du commerce électronique. Ce qui est nouveau est la proposition, toute récente, de la jeune pousse (startup) Vayu Robotics, qui a conçu des robots de livraison recourant à l’intelligence artificielle (IA). Il s’agit d’une innovation qui, dit-on, pourrait réduire les coûts pour les détaillants en ligne.
L’article spécifie que les robots de Vayu utilisent une combinaison d’IA et de capteurs passifs à faible coût. Cela permettrait de contourner le recours à la technologie LIDAR, très sophistiquée et onéreuse, qui est la norme pour de nombreux véhicules autonomes. Cette percée est significative alors que le commerce électronique poursuit une croissance accélérée, et que les experts constatent la recherche de solutions de livraison plus efficaces et plus rentables.
Cependant, bien que la réduction des coûts des robots soit un objectif essentiel, d’un point de vue stratégique, on estime que la proposition de systèmes de livraison autonomes plus abordables permettrait aux petites et moyennes entreprises, souvent désavantagées dans le commerce électronique, d’offrir des solutions capables de rivaliser avec celles des géants de la logistique.
En outre, l’article note que les robots de Vayu Robotics seraient capables de surmonter les obstacles auxquels ont été confrontées d’autres entreprises de livraison robotisée. Par exemple, les robots de petite taille de la jeune pousse Starship Technologies ont une capacité de charge et de vitesse limitée. De leur côté, les robots conçus par Nuro, qui ont la taille d’un véhicule, ont rencontré des obstacles réglementaires dans certaines juridictions. En revanche, les robots de Vayu peuvent transporter une charge atteignant jusqu’à 100 livres à des vitesses inférieures à 20 miles à l’heure tout en circulant à la fois sur les trottoirs et dans les rues sans précartographie.
Dans le détail, l’article explique que la capsule de livraison électrique compacte du robot de Vayu est conçue pour circuler dans les environnements urbains avec un minimum de perturbations. Le robot a une autonomie de 60 à 70 miles par charge, il utilise un système de vision propriétaire et un modèle d’IA pour la navigation autonome. De plus, muni d’un bras robotique, il peut récupérer et livrer des colis depuis son compartiment de stockage. À terme, Vayu pense qu’il sera en mesure de concevoir des robots quadrupèdes et bipèdes qui permettront des déplacements encore plus efficaces.
Enfin, cette innovation semble attirer l’intérêt du marché, car une société de commerce électronique aurait déjà accepté de déployer 2 500 robots de Vayu. On note cependant qu’il y a encore des questionnements quant à l’acceptation de la population et à la réglementation qui permettrait le déploiement généralisé de véhicules de livraison autonomes.
Selon un article de PYMNTS, le déploiement de robots de livraison n’est pas un phénomène nouveau. Ceux-ci seraient, en fait, une composante logistique critique pour gérer le défi du « dernier kilomètre » du commerce électronique. Ce qui est nouveau est la proposition, toute récente, de la jeune pousse (startup) Vayu Robotics, qui a conçu des robots de livraison recourant à l’intelligence artificielle (IA). Il s’agit d’une innovation qui, dit-on, pourrait réduire les coûts pour les détaillants en ligne.
L’article spécifie que les robots de Vayu utilisent une combinaison d’IA et de capteurs passifs à faible coût. Cela permettrait de contourner le recours à la technologie LIDAR, très sophistiquée et onéreuse, qui est la norme pour de nombreux véhicules autonomes. Cette percée est significative alors que le commerce électronique poursuit une croissance accélérée, et que les experts constatent la recherche de solutions de livraison plus efficaces et plus rentables.
Cependant, bien que la réduction des coûts des robots soit un objectif essentiel, d’un point de vue stratégique, on estime que la proposition de systèmes de livraison autonomes plus abordables permettrait aux petites et moyennes entreprises, souvent désavantagées dans le commerce électronique, d’offrir des solutions capables de rivaliser avec celles des géants de la logistique.
En outre, l’article note que les robots de Vayu Robotics seraient capables de surmonter les obstacles auxquels ont été confrontées d’autres entreprises de livraison robotisée. Par exemple, les robots de petite taille de la jeune pousse Starship Technologies ont une capacité de charge et de vitesse limitée. De leur côté, les robots conçus par Nuro, qui ont la taille d’un véhicule, ont rencontré des obstacles réglementaires dans certaines juridictions. En revanche, les robots de Vayu peuvent transporter une charge atteignant jusqu’à 100 livres à des vitesses inférieures à 20 miles à l’heure tout en circulant à la fois sur les trottoirs et dans les rues sans précartographie.
Dans le détail, l’article explique que la capsule de livraison électrique compacte du robot de Vayu est conçue pour circuler dans les environnements urbains avec un minimum de perturbations. Le robot a une autonomie de 60 à 70 miles par charge, il utilise un système de vision propriétaire et un modèle d’IA pour la navigation autonome. De plus, muni d’un bras robotique, il peut récupérer et livrer des colis depuis son compartiment de stockage. À terme, Vayu pense qu’il sera en mesure de concevoir des robots quadrupèdes et bipèdes qui permettront des déplacements encore plus efficaces.
Enfin, cette innovation semble attirer l’intérêt du marché, car une société de commerce électronique aurait déjà accepté de déployer 2 500 robots de Vayu. On note cependant qu’il y a encore des questionnements quant à l’acceptation de la population et à la réglementation qui permettrait le déploiement généralisé de véhicules de livraison autonomes.