La convivialité du commerce social bouleverse le comportement d’achat des jeunes générations
Un article de The PayPers commente les implications de ce qu’on appelle le « commerce social », une tendance majeure en matière de paiement qui devrait, dit-on, révolutionner les habitudes d’achat des consommateurs. Les entreprises devraient donc s’y préparer.
Le constat de base est que le commerce social, c’est-à-dire l’achat de biens via les plateformes de médias sociaux, a gagné en popularité. Apparemment, les consommateurs utilisent de plus en plus les réseaux sociaux pour interagir avec les marques, trouver des produits, et effectuer des achats en ligne. Les plateformes telles que TikTok, Facebook et Instagram devraient bientôt permettre aux consommateurs de compléter leurs parcours d’achat dans une dynamique où le marketing d’influence jouera un rôle majeur dans le comportement des consommateurs.
L’article signale que les ventes du commerce social devraient presque doubler par rapport à 2023 et pourraient dépasser 1 000 milliards de dollars d’ici 2028 à l’échelle mondiale. De plus, la rentabilité de ce commerce devrait augmenter en vertu des capacités des technologies disruptives, telles que le soutien à la clientèle appuyé par l’intelligence artificielle, qui devrait améliorer la vitesse de réponse aux clients et offrir une assistance en temps réel, en tout temps.
Selon l’article, l’essor du commerce social est le résultat d’un ensemble de facteurs, notamment la convivialité offerte par les achats intégrés. En effet, les générations Y, Z et Alpha, qui aiment passer leur temps libre dans les médias sociaux, ont été attirées par la consolidation de ces plateformes en tant que marchés où les consommateurs n’ont pas besoin de quitter l’application pour effectuer une transaction.
En effet, grâce aux achats intégrés, les marques peuvent proposer des paiements directs qui simplifient et accélèrent les transactions des clients sans que ceux-ci ressentent la nécessité de quitter leur écosystème. Cela contraste avec les achats en ligne traditionnels, où l’expérience de paiement est interrompue au moment où les acheteurs sont redirigés vers le site Web du commerçant pour finaliser leur achat.
La personnalisation et la confiance seraient d’autres facteurs décisifs. Dans le premier cas, les utilisateurs se feraient offrir des recommandations tandis qu’ils interagissent avec les marques grâce aux algorithmes intelligents qui analysent leur comportement. Pour ce qui est de la confiance, l’article souligne que la crédibilité des produits et des marques augmente lorsqu’ils sont promus par des influenceurs à qui les clients font confiance. Cet aspect communautaire est exemplifié par le fait que 43 % des publics de la génération Z choisissent TikTok pour faire leur recherche de produits plutôt que Google ou Amazon.
Le potentiel du commerce social serait immense étant donné qu’en moyenne, les utilisateurs des réseaux sociaux interagissent activement sur 6,7 plateformes différentes chaque mois, y consacrant environ 2 heures et 20 minutes par jour. Cependant, pour que les entreprises puissent en tirer profit, il faudrait qu’elles améliorent leurs systèmes de paiement pour les rendre plus transparents, sécurisés et polyvalents.
Un article de The PayPers commente les implications de ce qu’on appelle le « commerce social », une tendance majeure en matière de paiement qui devrait, dit-on, révolutionner les habitudes d’achat des consommateurs. Les entreprises devraient donc s’y préparer.
Le constat de base est que le commerce social, c’est-à-dire l’achat de biens via les plateformes de médias sociaux, a gagné en popularité. Apparemment, les consommateurs utilisent de plus en plus les réseaux sociaux pour interagir avec les marques, trouver des produits, et effectuer des achats en ligne. Les plateformes telles que TikTok, Facebook et Instagram devraient bientôt permettre aux consommateurs de compléter leurs parcours d’achat dans une dynamique où le marketing d’influence jouera un rôle majeur dans le comportement des consommateurs.
L’article signale que les ventes du commerce social devraient presque doubler par rapport à 2023 et pourraient dépasser 1 000 milliards de dollars d’ici 2028 à l’échelle mondiale. De plus, la rentabilité de ce commerce devrait augmenter en vertu des capacités des technologies disruptives, telles que le soutien à la clientèle appuyé par l’intelligence artificielle, qui devrait améliorer la vitesse de réponse aux clients et offrir une assistance en temps réel, en tout temps.
Selon l’article, l’essor du commerce social est le résultat d’un ensemble de facteurs, notamment la convivialité offerte par les achats intégrés. En effet, les générations Y, Z et Alpha, qui aiment passer leur temps libre dans les médias sociaux, ont été attirées par la consolidation de ces plateformes en tant que marchés où les consommateurs n’ont pas besoin de quitter l’application pour effectuer une transaction.
En effet, grâce aux achats intégrés, les marques peuvent proposer des paiements directs qui simplifient et accélèrent les transactions des clients sans que ceux-ci ressentent la nécessité de quitter leur écosystème. Cela contraste avec les achats en ligne traditionnels, où l’expérience de paiement est interrompue au moment où les acheteurs sont redirigés vers le site Web du commerçant pour finaliser leur achat.
La personnalisation et la confiance seraient d’autres facteurs décisifs. Dans le premier cas, les utilisateurs se feraient offrir des recommandations tandis qu’ils interagissent avec les marques grâce aux algorithmes intelligents qui analysent leur comportement. Pour ce qui est de la confiance, l’article souligne que la crédibilité des produits et des marques augmente lorsqu’ils sont promus par des influenceurs à qui les clients font confiance. Cet aspect communautaire est exemplifié par le fait que 43 % des publics de la génération Z choisissent TikTok pour faire leur recherche de produits plutôt que Google ou Amazon.
Le potentiel du commerce social serait immense étant donné qu’en moyenne, les utilisateurs des réseaux sociaux interagissent activement sur 6,7 plateformes différentes chaque mois, y consacrant environ 2 heures et 20 minutes par jour. Cependant, pour que les entreprises puissent en tirer profit, il faudrait qu’elles améliorent leurs systèmes de paiement pour les rendre plus transparents, sécurisés et polyvalents.