La complexité de la transformation infonuagique expliquerait les nombreux échecs des entreprises
Selon CIODIVE, la moitié des transformations infonuagiques se solderaient par des « échecs lamentables ». Ce sont les conclusions d’un rapport de HFS Research, qui note le refroidissement de l’enthousiasme des entreprises à l’égard des promesses d’efficacité opérationnelle attribuées à la transformation infonuagique. Apparemment, près des deux tiers des organisations qui ont réalisé des investissements stratégiques dans cette technologie ne réussissent pas à en extraire de la valeur commerciale.
Ce serait l’avis de plus de 500 cadres supérieurs d’entreprises du classement Forbes Global 2000 qui ont été interrogés sur une période de six mois. CIODIVE note que l’étude a révélé un mécontentement généralisé, non pas à l’égard de la technologie, mais plutôt à l’égard des pauvres résultats commerciaux obtenus par le biais de celle-ci. Il y aurait donc, dit-on, un décalage entre l’infonuagique et les objectifs d’affaires des entreprises.
Selon les experts, les entreprises n’auraient pas compris que la transformation est un processus qui demande plus de temps et d’efforts que prévu afin de trouver la meilleure façon d’optimiser les données et les processus. Ce sont les étapes préalables pour obtenir un véritable changement dans le fonctionnement de l’organisation. Bref, l’échec s’expliquerait par l’incapacité de l’entreprise à se détacher de ses anciennes façons de fonctionner.
Il y aurait quatre symptômes indiquant qu’une entreprise n’a pas réussi à atteindre ses objectifs financiers, opérationnels ou stratégiques grâce à l’infonuagique :
- Des dépassements de coûts inattendus;
- Des inefficacités opérationnelles conduisant à des systèmes fragmentés qui entravent les opérations plutôt que de les rationaliser;
- De nouvelles vulnérabilités de sécurité qui exposent l’organisation à des cyberattaques;
- Des compétences professionnelles lacunaires qui empêchent la pleine utilisation de tout le potentiel de l’infonuagique.
Il faudrait donc faire la distinction entre la migration vers l’infonuagique et la transformation de l’infrastructure, des données et des processus pour faire plus que simplement superposer de nouvelles technologies, signale le rapport. À mesure que les organisations surmontent les obstacles initiaux en matière de migration, le passage à des stratégies globales axées sur l’infonuagique facilite l’apprentissage.
Le rapport signale qu’un des facteurs qui expliqueraient le dépassement de coûts et les inefficacités est la migration vers l’infonuagique de technologies et de processus déficitaires. C’est ce qu’on appelle la dette technique. Le rapport mentionne que beaucoup d’entreprises créent une organisation infonuagique parallèlement à leurs opérations patrimoniales physiques.
L’irruption de l’intelligence artificielle (IA) générative ne fait que complexifier un environnement déjà aux prises avec des dettes techniques, des dépassements de coûts, des problèmes de sécurité et des déficits de compétences. Les experts signalent que cette technologie intelligente est un outil très gourmand en infrastructure. De ce fait, les entreprises désirant introduire de grands modèles de langage nécessiteront une infrastructure infonuagique très solide pour adopter cette technologie et la faire évoluer.
Selon CIODIVE, la moitié des transformations infonuagiques se solderaient par des « échecs lamentables ». Ce sont les conclusions d’un rapport de HFS Research, qui note le refroidissement de l’enthousiasme des entreprises à l’égard des promesses d’efficacité opérationnelle attribuées à la transformation infonuagique. Apparemment, près des deux tiers des organisations qui ont réalisé des investissements stratégiques dans cette technologie ne réussissent pas à en extraire de la valeur commerciale.
Ce serait l’avis de plus de 500 cadres supérieurs d’entreprises du classement Forbes Global 2000 qui ont été interrogés sur une période de six mois. CIODIVE note que l’étude a révélé un mécontentement généralisé, non pas à l’égard de la technologie, mais plutôt à l’égard des pauvres résultats commerciaux obtenus par le biais de celle-ci. Il y aurait donc, dit-on, un décalage entre l’infonuagique et les objectifs d’affaires des entreprises.
Selon les experts, les entreprises n’auraient pas compris que la transformation est un processus qui demande plus de temps et d’efforts que prévu afin de trouver la meilleure façon d’optimiser les données et les processus. Ce sont les étapes préalables pour obtenir un véritable changement dans le fonctionnement de l’organisation. Bref, l’échec s’expliquerait par l’incapacité de l’entreprise à se détacher de ses anciennes façons de fonctionner.
Il y aurait quatre symptômes indiquant qu’une entreprise n’a pas réussi à atteindre ses objectifs financiers, opérationnels ou stratégiques grâce à l’infonuagique :
- Des dépassements de coûts inattendus;
- Des inefficacités opérationnelles conduisant à des systèmes fragmentés qui entravent les opérations plutôt que de les rationaliser;
- De nouvelles vulnérabilités de sécurité qui exposent l’organisation à des cyberattaques;
- Des compétences professionnelles lacunaires qui empêchent la pleine utilisation de tout le potentiel de l’infonuagique.
Il faudrait donc faire la distinction entre la migration vers l’infonuagique et la transformation de l’infrastructure, des données et des processus pour faire plus que simplement superposer de nouvelles technologies, signale le rapport. À mesure que les organisations surmontent les obstacles initiaux en matière de migration, le passage à des stratégies globales axées sur l’infonuagique facilite l’apprentissage.
Le rapport signale qu’un des facteurs qui expliqueraient le dépassement de coûts et les inefficacités est la migration vers l’infonuagique de technologies et de processus déficitaires. C’est ce qu’on appelle la dette technique. Le rapport mentionne que beaucoup d’entreprises créent une organisation infonuagique parallèlement à leurs opérations patrimoniales physiques.
L’irruption de l’intelligence artificielle (IA) générative ne fait que complexifier un environnement déjà aux prises avec des dettes techniques, des dépassements de coûts, des problèmes de sécurité et des déficits de compétences. Les experts signalent que cette technologie intelligente est un outil très gourmand en infrastructure. De ce fait, les entreprises désirant introduire de grands modèles de langage nécessiteront une infrastructure infonuagique très solide pour adopter cette technologie et la faire évoluer.