La Californie, le Québec et l’État de Washington s’organisent pour relier leurs marchés du carbone
Carbon Credits souligne les efforts régionaux dans l’ouest des États-Unis et au Canada pour relever le défi de lutter contre le changement climatique. En effet, la Californie, le Québec et l’État de Washington mènent des projets convergents visant à relier leurs marchés du carbone. En fait, ces trois territoires prévoient de travailler ensemble dans le but de créer, au plus tôt en 2025, un plus grand marché de crédits carbone. Cette initiative pourrait, dit-on, avoir un impact notable sur la dynamique des échanges de droits d’émission.
Par exemple, dans le marché du carbone californien, le California Air Resources Board (CARB) devrait soumettre une évaluation d’impact réglementaire standardisée (SRIA) au ministère des Finances de l’État dans le cadre de la modification du programme de plafonnement et d’échange, également connu sous le nom de marché du carbone de conformité.
Carbon Credits note que pendant ce temps, les prix du marché secondaire des quotas de carbone californiens se sont montrés solides et affichent une tendance à la hausse par rapport aux dernières évaluations, indiquant des perspectives positives du marché. De même, les prix de l’Initiative régionale sur les gaz à effet de serre affichent une tendance à la hausse, les contrats de livraison de décembre montrant une forte activité commerciale.
Pour ce qui est du Québec, Carbon Credits mentionne que le marché québécois des crédits carbone a été lié au programme californien visant à améliorer la liquidité en 2014. Pour faciliter ces échanges transfrontaliers et garantir une comptabilisation précise des réductions d’émissions de gaz à effet de serre (GES), la Californie et le Québec ont mis en place un mécanisme de comptabilisation. Ce mécanisme évalue les progrès du Québec vers ses cibles de réduction des émissions de GES en considérant son inventaire national d’émissions et les quotas d’émission échangés entre le Québec et la Californie.
Enfin, Carbon Credits commente la législation adoptée par l’État de Washington, le projet de loi 6058 du Sénat, qui vise à rationaliser le processus de liaison du programme carbone de Washington avec les programmes conjoints de plafonnement et d’échange établis par la Californie et le Québec.
Plus précisément, la nouvelle loi introduit plusieurs amendements au Climate Commitment Act de Washington, qui devraient faciliter d’éventuels accords de liaison entre l’État de Washington, la Californie et le Québec. Dans le détail, les principales dispositions de cette législation comprennent :
- L’ajustement des périodes de conformité pour les aligner sur celles de la Californie et du Québec, permettant ainsi la synchronisation des cadres réglementaires;
- L’augmentation des limites d’achat de quotas (25 %) et une flexibilité accrue dans l’utilisation des crédits compensatoires pour promouvoir l’efficacité et l’intégration du marché;
- La suppression de dates précises dans le libellé concernant la période de conformité pour tenir compte des accords de liaison potentiels et garantir la cohérence réglementaire.
Carbon Credits souligne les efforts régionaux dans l’ouest des États-Unis et au Canada pour relever le défi de lutter contre le changement climatique. En effet, la Californie, le Québec et l’État de Washington mènent des projets convergents visant à relier leurs marchés du carbone. En fait, ces trois territoires prévoient de travailler ensemble dans le but de créer, au plus tôt en 2025, un plus grand marché de crédits carbone. Cette initiative pourrait, dit-on, avoir un impact notable sur la dynamique des échanges de droits d’émission.
Par exemple, dans le marché du carbone californien, le California Air Resources Board (CARB) devrait soumettre une évaluation d’impact réglementaire standardisée (SRIA) au ministère des Finances de l’État dans le cadre de la modification du programme de plafonnement et d’échange, également connu sous le nom de marché du carbone de conformité.
Carbon Credits note que pendant ce temps, les prix du marché secondaire des quotas de carbone californiens se sont montrés solides et affichent une tendance à la hausse par rapport aux dernières évaluations, indiquant des perspectives positives du marché. De même, les prix de l’Initiative régionale sur les gaz à effet de serre affichent une tendance à la hausse, les contrats de livraison de décembre montrant une forte activité commerciale.
Pour ce qui est du Québec, Carbon Credits mentionne que le marché québécois des crédits carbone a été lié au programme californien visant à améliorer la liquidité en 2014. Pour faciliter ces échanges transfrontaliers et garantir une comptabilisation précise des réductions d’émissions de gaz à effet de serre (GES), la Californie et le Québec ont mis en place un mécanisme de comptabilisation. Ce mécanisme évalue les progrès du Québec vers ses cibles de réduction des émissions de GES en considérant son inventaire national d’émissions et les quotas d’émission échangés entre le Québec et la Californie.
Enfin, Carbon Credits commente la législation adoptée par l’État de Washington, le projet de loi 6058 du Sénat, qui vise à rationaliser le processus de liaison du programme carbone de Washington avec les programmes conjoints de plafonnement et d’échange établis par la Californie et le Québec.
Plus précisément, la nouvelle loi introduit plusieurs amendements au Climate Commitment Act de Washington, qui devraient faciliter d’éventuels accords de liaison entre l’État de Washington, la Californie et le Québec. Dans le détail, les principales dispositions de cette législation comprennent :
- L’ajustement des périodes de conformité pour les aligner sur celles de la Californie et du Québec, permettant ainsi la synchronisation des cadres réglementaires;
- L’augmentation des limites d’achat de quotas (25 %) et une flexibilité accrue dans l’utilisation des crédits compensatoires pour promouvoir l’efficacité et l’intégration du marché;
- La suppression de dates précises dans le libellé concernant la période de conformité pour tenir compte des accords de liaison potentiels et garantir la cohérence réglementaire.