Informatique responsable
La Harvard Business Review a publié un article sur un cadre informatique responsable qui prend en compte les défis environnementaux, notamment la consommation et l’émission d’énergie ainsi que les aspects sociaux et de gouvernance. Il s’agit d’un modèle que les entreprises peuvent utiliser pour rendre leur système informatique plus écologique, éthique, fiable et durable. Celui-ci repose sur les six piliers suivants :
- Des centres de données responsables. Un serveur moyen fonctionne à 12 % à 18 % de sa capacité, mais consomme de 30 % à 60 % de sa puissance maximale. Il est donc important de mesurer l’empreinte carbone ou la quantité de CO2 émise par les centres de données, ainsi que la quantité d’énergie renouvelable produite. Ensuite, il faut optimiser les infrastructures. Par exemple, on peut mesurer la quantité d’énergie utilisée par le centre ainsi que celle réutilisée dans d’autres installations, de même que l’efficacité globale du système de refroidissement. Il faut par ailleurs s’intéresser à la quantité d’eau utilisée par les centres, y compris la quantité d’eau recyclée à d’autres fins. En somme, cette analyse permettra à l’entreprise d’avoir une vision claire de ses sources d’alimentation, de l’énergie utilisée pour le refroidissement et de la consommation d’eau.
- Des infrastructures responsables. Il s’agit de réduire l’impact environnemental de la puissance informatique. Pour cela, il faut évaluer l’ensemble de l’écosystème de l’entreprise, d’abord en s’assurant que le matériel informatique peut être mesuré par des indicateurs clés de performance d’utilisation d’énergie. Ensuite, il faut comprendre les émissions de gaz à effet de serre par unité de matériel ou l’empreinte carbone unitaire. Enfin, il faut mesurer la quantité de déchets générés par l’informatique, notamment la quantité de matériel envoyé à la décharge par rapport à la récupération, à la réutilisation, à la revente…
- Un code responsable. Les entreprises doivent se doter d’un code qui prend en compte l’impact environnemental, sociétal et économique. Il faut mesurer l’efficacité des points de fonction. Ensuite, il faut évaluer l’architecture du code pour savoir s’il est évolutif et flexible. Il faut également mesurer la qualité du code.
- Des données responsables. Il s’agit de la confidentialité, de la transparence, du partage et de l’acquisition des données. L’entreprise a une responsabilité éthique, légale et sociale à l’égard du traitement des données tout au long de leur cycle de vie.
- Des systèmes responsables. Les entreprises doivent se doter de systèmes équitables et impartiaux. Premièrement, en évitant de discriminer des personnes en fonction de caractéristiques comme la race, le sexe, l’âge ou un handicap. Deuxièmement, il faut mesurer la conformité aux réglementations. Cela permettra de rendre les systèmes plus transparents. Troisièmement, il faut mettre en place un indicateur clé de performance qui permet d’auditer les systèmes.
- Un impact responsable. Il s’agit d’utiliser la technologie pour s’aligner sur les dix-sept objectifs de développement durable des Nations unies. Par exemple, utiliser l’informatique dans l’agriculture.
La Harvard Business Review a publié un article sur un cadre informatique responsable qui prend en compte les défis environnementaux, notamment la consommation et l’émission d’énergie ainsi que les aspects sociaux et de gouvernance. Il s’agit d’un modèle que les entreprises peuvent utiliser pour rendre leur système informatique plus écologique, éthique, fiable et durable. Celui-ci repose sur les six piliers suivants :
- Des centres de données responsables. Un serveur moyen fonctionne à 12 % à 18 % de sa capacité, mais consomme de 30 % à 60 % de sa puissance maximale. Il est donc important de mesurer l’empreinte carbone ou la quantité de CO2 émise par les centres de données, ainsi que la quantité d’énergie renouvelable produite. Ensuite, il faut optimiser les infrastructures. Par exemple, on peut mesurer la quantité d’énergie utilisée par le centre ainsi que celle réutilisée dans d’autres installations, de même que l’efficacité globale du système de refroidissement. Il faut par ailleurs s’intéresser à la quantité d’eau utilisée par les centres, y compris la quantité d’eau recyclée à d’autres fins. En somme, cette analyse permettra à l’entreprise d’avoir une vision claire de ses sources d’alimentation, de l’énergie utilisée pour le refroidissement et de la consommation d’eau.
- Des infrastructures responsables. Il s’agit de réduire l’impact environnemental de la puissance informatique. Pour cela, il faut évaluer l’ensemble de l’écosystème de l’entreprise, d’abord en s’assurant que le matériel informatique peut être mesuré par des indicateurs clés de performance d’utilisation d’énergie. Ensuite, il faut comprendre les émissions de gaz à effet de serre par unité de matériel ou l’empreinte carbone unitaire. Enfin, il faut mesurer la quantité de déchets générés par l’informatique, notamment la quantité de matériel envoyé à la décharge par rapport à la récupération, à la réutilisation, à la revente…
- Un code responsable. Les entreprises doivent se doter d’un code qui prend en compte l’impact environnemental, sociétal et économique. Il faut mesurer l’efficacité des points de fonction. Ensuite, il faut évaluer l’architecture du code pour savoir s’il est évolutif et flexible. Il faut également mesurer la qualité du code.
- Des données responsables. Il s’agit de la confidentialité, de la transparence, du partage et de l’acquisition des données. L’entreprise a une responsabilité éthique, légale et sociale à l’égard du traitement des données tout au long de leur cycle de vie.
- Des systèmes responsables. Les entreprises doivent se doter de systèmes équitables et impartiaux. Premièrement, en évitant de discriminer des personnes en fonction de caractéristiques comme la race, le sexe, l’âge ou un handicap. Deuxièmement, il faut mesurer la conformité aux réglementations. Cela permettra de rendre les systèmes plus transparents. Troisièmement, il faut mettre en place un indicateur clé de performance qui permet d’auditer les systèmes.
- Un impact responsable. Il s’agit d’utiliser la technologie pour s’aligner sur les dix-sept objectifs de développement durable des Nations unies. Par exemple, utiliser l’informatique dans l’agriculture.