Impact, responsabilité et performance globale de l’entreprise
La notion d’impact a d’abord été mobilisée dans le cadre des politiques publiques, afin de mesurer l’efficacité des programmes et de servir d’outil d’aide à la décision et à la bonne affectation des deniers publics. Progressivement, les acteurs du monde financier et économique se sont saisis de cette notion, selon une analyse de France Stratégie. Les impacts peuvent être avérés ou potentiels, négatifs ou positifs, à long ou court terme, intentionnels ou non, réversibles ou irréversibles.
La responsabilité sociétale de l’entreprise se définit au sens de la norme ISO 26000 comme « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement transparent et éthique qui :
- Contribue au développement durable;
- Prend en compte les attentes des parties prenantes;
- Respecte les lois en vigueur et est compatible avec les normes internationales;
- Est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations ».
Ainsi, les entreprises sont confrontées à la nécessité de mesurer leur impact, et doivent s’interroger sur les méthodologies et périmètres de mesure d’impact adéquats. Enfin, plus qu’une simple démarche de mesure, l’analyse d’impact vise surtout à être intégrée à la stratégie de l’entreprise afin de développer un modèle d’affaires plus durable.
La nécessité de la mesure d’impact
Les entreprises sont appelées à évaluer leur impact afin de répondre à des sollicitations croissantes et variées. Il convient donc d’identifier les méthodes adaptées aux objectifs, spécificités et contraintes de l’entreprise.
L’objet de la mesure d’impact
La notion d’impact recouvre l’ensemble des conséquences de l’activité d’une entreprise sur son environnement et ses parties prenantes. Il convient de déterminer le périmètre de l’analyse d’impact et d’adopter une démarche adaptée à la nature de l’activité, aux moyens dont dispose l’entreprise ainsi qu’à l’objectif de l’analyse. Ainsi, il est possible de mesurer l’impact :
- À l’échelle d’un produit, d’un secteur d’activité, d’une unité d’affaires ou d’une zone géographique;
- À des fins de conformité réglementaire;
- À des fins de communication avec ses parties prenantes;
- À des fins de pilotage interne.
Le choix d’une méthodologie de mesure d’impact adaptée
Définir le périmètre et l’objectif de l’étude d’impact permet d’adapter en conséquence la méthodologie de mesure d’impact à mettre en œuvre. Il convient particulièrement d’en tenir compte dans le choix de la méthode.
L’ancrage de l’impact dans la stratégie de l’entreprise
Mesurer les impacts d’une entreprise participe à identifier et à développer la contribution de l’entreprise à la société, offrant un support pour optimiser ses impacts positifs et réduire ses impacts négatifs. L’impact permet de penser la performance globale de l’entreprise afin de développer un modèle d’affaires plus durable. Intégrer l’impact au cœur de la stratégie de l’entreprise nécessite notamment d’ancrer cette notion au cœur de sa gouvernance.
La notion d’impact a d’abord été mobilisée dans le cadre des politiques publiques, afin de mesurer l’efficacité des programmes et de servir d’outil d’aide à la décision et à la bonne affectation des deniers publics. Progressivement, les acteurs du monde financier et économique se sont saisis de cette notion, selon une analyse de France Stratégie. Les impacts peuvent être avérés ou potentiels, négatifs ou positifs, à long ou court terme, intentionnels ou non, réversibles ou irréversibles.
La responsabilité sociétale de l’entreprise se définit au sens de la norme ISO 26000 comme « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement transparent et éthique qui :
- Contribue au développement durable;
- Prend en compte les attentes des parties prenantes;
- Respecte les lois en vigueur et est compatible avec les normes internationales;
- Est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations ».
Ainsi, les entreprises sont confrontées à la nécessité de mesurer leur impact, et doivent s’interroger sur les méthodologies et périmètres de mesure d’impact adéquats. Enfin, plus qu’une simple démarche de mesure, l’analyse d’impact vise surtout à être intégrée à la stratégie de l’entreprise afin de développer un modèle d’affaires plus durable.
La nécessité de la mesure d’impact
Les entreprises sont appelées à évaluer leur impact afin de répondre à des sollicitations croissantes et variées. Il convient donc d’identifier les méthodes adaptées aux objectifs, spécificités et contraintes de l’entreprise.
L’objet de la mesure d’impact
La notion d’impact recouvre l’ensemble des conséquences de l’activité d’une entreprise sur son environnement et ses parties prenantes. Il convient de déterminer le périmètre de l’analyse d’impact et d’adopter une démarche adaptée à la nature de l’activité, aux moyens dont dispose l’entreprise ainsi qu’à l’objectif de l’analyse. Ainsi, il est possible de mesurer l’impact :
- À l’échelle d’un produit, d’un secteur d’activité, d’une unité d’affaires ou d’une zone géographique;
- À des fins de conformité réglementaire;
- À des fins de communication avec ses parties prenantes;
- À des fins de pilotage interne.
Le choix d’une méthodologie de mesure d’impact adaptée
Définir le périmètre et l’objectif de l’étude d’impact permet d’adapter en conséquence la méthodologie de mesure d’impact à mettre en œuvre. Il convient particulièrement d’en tenir compte dans le choix de la méthode.
L’ancrage de l’impact dans la stratégie de l’entreprise
Mesurer les impacts d’une entreprise participe à identifier et à développer la contribution de l’entreprise à la société, offrant un support pour optimiser ses impacts positifs et réduire ses impacts négatifs. L’impact permet de penser la performance globale de l’entreprise afin de développer un modèle d’affaires plus durable. Intégrer l’impact au cœur de la stratégie de l’entreprise nécessite notamment d’ancrer cette notion au cœur de sa gouvernance.