Il est urgent d’investir dans de nouvelles technologies pour réduire la pollution de l’air intérieur des espaces publics
Selon Nature, il faudrait investir de façon urgente dans la surveillance de la qualité de l'air des environnements intérieurs. Cette pratique devrait devenir courante, compte tenu des effets très négatifs de la pollution sur la santé.
En effet, la pollution des espaces publics intérieurs serait l'une des principales causes de maladies, de l'asthme aux maladies cardiaques, en passant par les accidents vasculaires cérébraux, le cancer du poumon et, probablement, même la démence. Apparemment, ce type de pollution de l'air aurait été responsable de 3,2 millions de décès en 2020, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). C'est presque autant que les décès liés à la pollution de l'air extérieur (3,5 millions).
Il est à noter que dans les pays industrialisés, la plupart des gens passent de 80 à 90 % de leur temps à l'intérieur – que ce soit à la maison ou dans des espaces publics tels que les écoles, les lieux de travail, les pôles de transport, les hôpitaux et les supermarchés. Cependant, ces espaces, dit-on, ne sont généralement pas soumis à des normes de qualité de l'air ambiant juridiquement contraignantes.
Cela, selon Nature, contraste avec les efforts effectués au cours des trois dernières décennies pour améliorer la qualité de l'air extérieur par le biais de l'amélioration des normes et des réglementations. Apparemment, grâce à ces initiatives, épaulées par l'avis des scientifiques, il a été possible de réduire considérablement les émissions de particules, d'oxyde d'azote et de dioxyde de soufre dans de nombreuses régions du monde.
De plus, la mauvaise qualité de l'air intérieur exacerberait les inégalités sociales. Elle affecterait de façon démesurée les personnes dont la santé est fragile ou qui, à cause d'un faible revenu, habitent des maisons humides, situées dans des zones de forte pollution extérieure. De plus, il s'agit souvent de maisons qui sont chauffées au gaz ou à l'aide de combustibles solides très polluants tels que le bois ou le charbon de bois.
Nature encourage donc l'implication des gouvernements locaux et nationaux pour veiller à la bonne qualité de l'air intérieur pour les personnes vivant dans des logements partagés, sociaux ou locatifs, ainsi que pour les espaces intérieurs publics. Selon la publication, il faudrait investir de façon urgente dans l'inventaire des émissions intérieures et caractériser des interventions telles que la ventilation et les innovations impliquant la filtration UV. De plus, la prise de mesures sur le long terme dans des habitations et des bâtiments publics représentatifs permettrait d'orienter les futures normes de construction.
Selon Nature, il faudrait investir de façon urgente dans la surveillance de la qualité de l'air des environnements intérieurs. Cette pratique devrait devenir courante, compte tenu des effets très négatifs de la pollution sur la santé.
En effet, la pollution des espaces publics intérieurs serait l'une des principales causes de maladies, de l'asthme aux maladies cardiaques, en passant par les accidents vasculaires cérébraux, le cancer du poumon et, probablement, même la démence. Apparemment, ce type de pollution de l'air aurait été responsable de 3,2 millions de décès en 2020, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). C'est presque autant que les décès liés à la pollution de l'air extérieur (3,5 millions).
Il est à noter que dans les pays industrialisés, la plupart des gens passent de 80 à 90 % de leur temps à l'intérieur – que ce soit à la maison ou dans des espaces publics tels que les écoles, les lieux de travail, les pôles de transport, les hôpitaux et les supermarchés. Cependant, ces espaces, dit-on, ne sont généralement pas soumis à des normes de qualité de l'air ambiant juridiquement contraignantes.
Cela, selon Nature, contraste avec les efforts effectués au cours des trois dernières décennies pour améliorer la qualité de l'air extérieur par le biais de l'amélioration des normes et des réglementations. Apparemment, grâce à ces initiatives, épaulées par l'avis des scientifiques, il a été possible de réduire considérablement les émissions de particules, d'oxyde d'azote et de dioxyde de soufre dans de nombreuses régions du monde.
De plus, la mauvaise qualité de l'air intérieur exacerberait les inégalités sociales. Elle affecterait de façon démesurée les personnes dont la santé est fragile ou qui, à cause d'un faible revenu, habitent des maisons humides, situées dans des zones de forte pollution extérieure. De plus, il s'agit souvent de maisons qui sont chauffées au gaz ou à l'aide de combustibles solides très polluants tels que le bois ou le charbon de bois.
Nature encourage donc l'implication des gouvernements locaux et nationaux pour veiller à la bonne qualité de l'air intérieur pour les personnes vivant dans des logements partagés, sociaux ou locatifs, ainsi que pour les espaces intérieurs publics. Selon la publication, il faudrait investir de façon urgente dans l'inventaire des émissions intérieures et caractériser des interventions telles que la ventilation et les innovations impliquant la filtration UV. De plus, la prise de mesures sur le long terme dans des habitations et des bâtiments publics représentatifs permettrait d'orienter les futures normes de construction.