Étude sur la semaine de travail de 4 jours : des résultats positifs
Une étude menée auprès de 41 entreprises par 4 Day Week Global au Portugal, en collaboration avec le gouvernement, a révélé des résultats positifs qui appuient la viabilité de la semaine de travail de quatre jours. Les entreprises participantes ont réduit leur semaine de travail de 40 heures à 36, 34, voire 32 heures sans diminution du salaire. Les employés avaient plusieurs options pour aménager leur temps de travail, dont :
- des vendredis libres;
- des jours de congés rotatifs;
- des équipes avec différents jours de congé, certains les lundis et d’autres les vendredis.
Cette étude a permis aux entreprises de mieux comprendre leur environnement de travail. En effet, 5 % ont réalisé qu’elles manquaient de personnel, 21 % ont économisé sur l’énergie ainsi que sur les outils et accessoires, 16 entreprises ont réduit la durée des réunions, et 10 ont adopté des logiciels plus performants. De plus, 72 % des entreprises ont enregistré une hausse moyenne de 12 % de leurs revenus. Chez les employés, les constats sont également positifs :
- 85 % ont noté une augmentation de leur performance;
- 23 % ont ressenti une diminution de leur fatigue;
- 70 % ont observé une augmentation de leur créativité;
- 65 % ont déclaré passer plus de temps avec leur famille.
En somme, quatre entreprises sur cinq souhaitent adopter la semaine de travail de quatre jours après l’étude. Des études similaires dans d’autres pays ont également montré des résultats positifs, suggérant que la semaine de travail de quatre jours pourrait devenir la norme dans le futur. Selon ABC News, un récent sondage au Royaume-Uni a révélé que 58 % du public s’attend à ce que la semaine de travail de quatre jours soit la norme d’ici 2030.
Dans certains pays comme les États-Unis, l’Allemagne et l’Italie, cette semaine de travail fait partie des revendications clés des syndicats. En novembre 2022, la Belgique a d’ailleurs adopté une loi permettant aux travailleurs à temps plein de demander une semaine de travail de 4 jours. L’objectif du gouvernement belge est d’améliorer l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et d’atteindre un taux d’emploi de 80 % d’ici 2030.
D’autres pays, comme l’Islande, le Japon et les Émirats arabes unis, ont également mené des études avec des résultats positifs et explorent la possibilité d’adopter une législation pour renforcer cette pratique. Depuis juillet 2023, tous les employés du gouvernement des Émirats arabes unis peuvent travailler quatre jours par semaine, ce qui représente une transformation importante, car le gouvernement emploie jusqu’à 90 % de la main-d’œuvre du pays.
Une étude menée auprès de 41 entreprises par 4 Day Week Global au Portugal, en collaboration avec le gouvernement, a révélé des résultats positifs qui appuient la viabilité de la semaine de travail de quatre jours. Les entreprises participantes ont réduit leur semaine de travail de 40 heures à 36, 34, voire 32 heures sans diminution du salaire. Les employés avaient plusieurs options pour aménager leur temps de travail, dont :
- des vendredis libres;
- des jours de congés rotatifs;
- des équipes avec différents jours de congé, certains les lundis et d’autres les vendredis.
Cette étude a permis aux entreprises de mieux comprendre leur environnement de travail. En effet, 5 % ont réalisé qu’elles manquaient de personnel, 21 % ont économisé sur l’énergie ainsi que sur les outils et accessoires, 16 entreprises ont réduit la durée des réunions, et 10 ont adopté des logiciels plus performants. De plus, 72 % des entreprises ont enregistré une hausse moyenne de 12 % de leurs revenus. Chez les employés, les constats sont également positifs :
- 85 % ont noté une augmentation de leur performance;
- 23 % ont ressenti une diminution de leur fatigue;
- 70 % ont observé une augmentation de leur créativité;
- 65 % ont déclaré passer plus de temps avec leur famille.
En somme, quatre entreprises sur cinq souhaitent adopter la semaine de travail de quatre jours après l’étude. Des études similaires dans d’autres pays ont également montré des résultats positifs, suggérant que la semaine de travail de quatre jours pourrait devenir la norme dans le futur. Selon ABC News, un récent sondage au Royaume-Uni a révélé que 58 % du public s’attend à ce que la semaine de travail de quatre jours soit la norme d’ici 2030.
Dans certains pays comme les États-Unis, l’Allemagne et l’Italie, cette semaine de travail fait partie des revendications clés des syndicats. En novembre 2022, la Belgique a d’ailleurs adopté une loi permettant aux travailleurs à temps plein de demander une semaine de travail de 4 jours. L’objectif du gouvernement belge est d’améliorer l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et d’atteindre un taux d’emploi de 80 % d’ici 2030.
D’autres pays, comme l’Islande, le Japon et les Émirats arabes unis, ont également mené des études avec des résultats positifs et explorent la possibilité d’adopter une législation pour renforcer cette pratique. Depuis juillet 2023, tous les employés du gouvernement des Émirats arabes unis peuvent travailler quatre jours par semaine, ce qui représente une transformation importante, car le gouvernement emploie jusqu’à 90 % de la main-d’œuvre du pays.