Encore des taxes sur les véhicules électriques chinois
Un article publié par le journal Le Monde rapporte que l’Union européenne (UE) a décidé de taxer les véhicules électriques chinois. En effet, l’UE soupçonne le gouvernement chinois de subventionner les constructeurs, ce qui crée une concurrence déloyale sur le marché international.
La Chine est également accusée de détruire la concurrence dans d’autres secteurs, comme les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries.
L’UE a donc augmenté les droits de douane sur les importations de véhicules électriques chinois de jusqu’à 28 %. La Chine, de son côté, réfute les accusations et dénonce une politique protectionniste.
Il faut rappeler que les véhicules électriques fabriqués en Chine étaient taxés à 10 % dans l’espace de l’UE. Certains fabricants chinois sont spécifiquement ciblés par cette hausse. Il s’agit de BYD, avec une hausse de droits de douane de 17,4 %, Geely, avec une hausse de 20 %, et SAIC, avec une hausse de 38,1 %.
Pour les autres constructeurs, les droits de douane moyens sont de 21 %. Il est prévu que ces taxes entrent en vigueur à partir du 4 juillet 2024.
Cette annonce s’arrime aux sanctions des États-Unis à l’encontre de la Chine. En effet, en mai dernier, le président américain a annoncé que les droits de douane pour les véhicules électriques chinois passeraient à 100 %, par rapport à 25 % précédemment.
L’objectif de l’UE est de freiner les importations de véhicules électriques chinois, sans pour autant les bloquer complètement. La Chine a à son tour annoncé qu’elle étudierait les importations de plusieurs produits provenant de l’UE, comme les eaux-de-vie, le vin, les produits laitiers, le porc, et les voitures à grosses cylindrées. De ce fait, des constructeurs automobiles comme Audi, BMW, Mercedes et Volkswagen s’inquiètent, car ils réalisent 40 % de leurs ventes en Chine.
Un article publié par le journal Le Monde rapporte que l’Union européenne (UE) a décidé de taxer les véhicules électriques chinois. En effet, l’UE soupçonne le gouvernement chinois de subventionner les constructeurs, ce qui crée une concurrence déloyale sur le marché international.
La Chine est également accusée de détruire la concurrence dans d’autres secteurs, comme les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries.
L’UE a donc augmenté les droits de douane sur les importations de véhicules électriques chinois de jusqu’à 28 %. La Chine, de son côté, réfute les accusations et dénonce une politique protectionniste.
Il faut rappeler que les véhicules électriques fabriqués en Chine étaient taxés à 10 % dans l’espace de l’UE. Certains fabricants chinois sont spécifiquement ciblés par cette hausse. Il s’agit de BYD, avec une hausse de droits de douane de 17,4 %, Geely, avec une hausse de 20 %, et SAIC, avec une hausse de 38,1 %.
Pour les autres constructeurs, les droits de douane moyens sont de 21 %. Il est prévu que ces taxes entrent en vigueur à partir du 4 juillet 2024.
Cette annonce s’arrime aux sanctions des États-Unis à l’encontre de la Chine. En effet, en mai dernier, le président américain a annoncé que les droits de douane pour les véhicules électriques chinois passeraient à 100 %, par rapport à 25 % précédemment.
L’objectif de l’UE est de freiner les importations de véhicules électriques chinois, sans pour autant les bloquer complètement. La Chine a à son tour annoncé qu’elle étudierait les importations de plusieurs produits provenant de l’UE, comme les eaux-de-vie, le vin, les produits laitiers, le porc, et les voitures à grosses cylindrées. De ce fait, des constructeurs automobiles comme Audi, BMW, Mercedes et Volkswagen s’inquiètent, car ils réalisent 40 % de leurs ventes en Chine.