En route vers une pénurie de blé?
Un article publié par Les Échosrapporte que l’année 2024 pourrait se solder par l’une des pires récoltes de blé des quarante dernières années en France. En effet, cette année a été marquée par des pluies incessantes et un manque de soleil. À la fin du mois de juillet, seulement 67 % des récoltes avaient été réalisées, contre 86 % à la même période en 2023. Un article de Terre-net souligne qu’en plus des conditions climatiques défavorables, des problèmes d’enherbement compliquent la fauche des cultures.
En effet, les pluies en continu pendant l’hiver ont favorisé la hausse du niveau d’enherbement et les inondations. De plus, la faible luminosité pendant les mois de mai et de juin a mené à des épis peu remplis. Par ailleurs, un excès de pluviométrie de 20 % pendant le mois de juin a conduit à une humidité qui a dégradé l’état des cultures. Dans la même veine, l’ensoleillement déficitaire a eu un effet néfaste sur la production.
La France n’est pas le seul pays touché par la baisse de production du blé, selon un article du Financial Times. Le Royaume-Uni a également subi les effets des précipitations abondantes dues aux changements climatiques. D’autres pays ont été affectés différemment :
- La sécheresse en Afrique du Sud s’est propagée jusqu’en Russie, où le gel a aussi causé des problèmes.
- En Ukraine, certaines régions ont connu la plus forte sécheresse depuis près de trente ans.
- L’Australie a également été touchée par la sécheresse dans certaines régions.
Le mauvais temps en Russie, qui est l’un des premiers producteurs de blé, a réduit les approvisionnements, augmentant ainsi les prix sur les marchés internationaux. En cas de pénurie en Russie, les acheteurs se tournent généralement vers les pays de L’Union européenne; or, les plus grands producteurs voient leurs productions baisser. Les acheteurs devront donc aller plus loin pour se procurer du blé.
Un article publié par Les Échosrapporte que l’année 2024 pourrait se solder par l’une des pires récoltes de blé des quarante dernières années en France. En effet, cette année a été marquée par des pluies incessantes et un manque de soleil. À la fin du mois de juillet, seulement 67 % des récoltes avaient été réalisées, contre 86 % à la même période en 2023. Un article de Terre-net souligne qu’en plus des conditions climatiques défavorables, des problèmes d’enherbement compliquent la fauche des cultures.
En effet, les pluies en continu pendant l’hiver ont favorisé la hausse du niveau d’enherbement et les inondations. De plus, la faible luminosité pendant les mois de mai et de juin a mené à des épis peu remplis. Par ailleurs, un excès de pluviométrie de 20 % pendant le mois de juin a conduit à une humidité qui a dégradé l’état des cultures. Dans la même veine, l’ensoleillement déficitaire a eu un effet néfaste sur la production.
La France n’est pas le seul pays touché par la baisse de production du blé, selon un article du Financial Times. Le Royaume-Uni a également subi les effets des précipitations abondantes dues aux changements climatiques. D’autres pays ont été affectés différemment :
- La sécheresse en Afrique du Sud s’est propagée jusqu’en Russie, où le gel a aussi causé des problèmes.
- En Ukraine, certaines régions ont connu la plus forte sécheresse depuis près de trente ans.
- L’Australie a également été touchée par la sécheresse dans certaines régions.
Le mauvais temps en Russie, qui est l’un des premiers producteurs de blé, a réduit les approvisionnements, augmentant ainsi les prix sur les marchés internationaux. En cas de pénurie en Russie, les acheteurs se tournent généralement vers les pays de L’Union européenne; or, les plus grands producteurs voient leurs productions baisser. Les acheteurs devront donc aller plus loin pour se procurer du blé.