En France, des outils innovants pour investir dans l’immobilier
La crise immobilière sévit partout dans le monde et la France n’y échappe pas. De plus, cette situation est exacerbée par les taux d’intérêt élevés qui réduisent la capacité d’emprunt des acheteurs. Un documentaire intitulé Capital – crise de l’immobilier : les meilleurs plans pour acheter fait ressortir des outils innovants, allant des programmes gouvernementaux aux initiatives privées, auxquels les acheteurs ont recours pour se procurer leur bien.
Bail réel solidaire (BRS)
Le bail réel solidaire (BRS) permet de dissocier le foncier du bâti afin de faire baisser les prix des logements. En optant pour un BRS, l’acheteur acquiert uniquement le logement et loue le terrain à un organisme foncier solidaire (OFS) pour une durée comprise entre 18 et 99 ans. Cela peut représenter une économie de 20 % à 40 % sur le prix d’achat. Évidemment, le logement doit être utilisé comme résidence principale.
Prêt à taux zéro (PTZ)
Le prêt à taux zéro (PTZ) s’agit d’un prêt sans intérêt offert par le gouvernement français pour faciliter l’accès à la propriété sous certaines conditions. Le PTZ est utilisé en complément d’un autre prêt immobilier. Il est possible de combiner un BRS et un PTZ si les critères sont remplis.
Prêts immobiliers complémentaires d’Action logement
Il s’agit de prêts accordés en complément du prêt immobilier principal, non par une banque, mais par des organismes comme une mutuelle, une caisse de retraite, Action logement… Deux types de prêts sont proposés :
- Prêt accession pour les salariés : destiné à financer une résidence principale avec un taux réduit de 1 % pour un montant maximum de 30 000 euros. La durée du prêt est variable et peut aller jusqu’à 25 ans.
- Prêt pour aider les salariés du secteur agricole : destiné aux salariés ou aux retraités (depuis moins de 5 ans) du secteur agricole, avec un taux d’intérêt de 1,5 % pour un montant maximum de 40 000 euros.
Prêt subventionné par l’employeur
SOFIAP, une filiale de la Banque Postale et de la SNCF, propose un prêt immobilier dont le taux d’intérêt est partiellement ou totalement pris en charge par l’employeur. Il est présenté comme un outil de fidélisation durable permettant aux entreprises d’accompagner leurs salariés dans le financement de leur achat immobilier. Un autre argument utilisé par SOFIAP pour inciter les entreprises à faire un partenariat avec eux est l’occasion de renforcer la marque employeur et de répondre aux engagements en responsabilité sociale. Il peut être utilisé en complément aux autres aides citées ci-dessus.
Courtier immobilier innovant
De nouveaux modèles d’affaires apparaissent dans le secteur immobilier, comme celui de Virgil, qui se présente comme un co-investisseur dans les projets immobiliers. Il participe à hauteur de 20 % du prix d’achat jusqu’à un maximum de 100 000 euros. L’entreprise applique un ratio de 1,5 fois le montant investi. C’est-à-dire que si Virgil investit 10 % du budget à l’achat, il détient 15 % du bien et se rémunère à la revente. Si le bien n’est pas revendu au bout d’une dizaine d’années, le propriétaire peut racheter la part de Virgil.
La crise immobilière sévit partout dans le monde et la France n’y échappe pas. De plus, cette situation est exacerbée par les taux d’intérêt élevés qui réduisent la capacité d’emprunt des acheteurs. Un documentaire intitulé Capital – crise de l’immobilier : les meilleurs plans pour acheter fait ressortir des outils innovants, allant des programmes gouvernementaux aux initiatives privées, auxquels les acheteurs ont recours pour se procurer leur bien.
Bail réel solidaire (BRS)
Le bail réel solidaire (BRS) permet de dissocier le foncier du bâti afin de faire baisser les prix des logements. En optant pour un BRS, l’acheteur acquiert uniquement le logement et loue le terrain à un organisme foncier solidaire (OFS) pour une durée comprise entre 18 et 99 ans. Cela peut représenter une économie de 20 % à 40 % sur le prix d’achat. Évidemment, le logement doit être utilisé comme résidence principale.
Prêt à taux zéro (PTZ)
Le prêt à taux zéro (PTZ) s’agit d’un prêt sans intérêt offert par le gouvernement français pour faciliter l’accès à la propriété sous certaines conditions. Le PTZ est utilisé en complément d’un autre prêt immobilier. Il est possible de combiner un BRS et un PTZ si les critères sont remplis.
Prêts immobiliers complémentaires d’Action logement
Il s’agit de prêts accordés en complément du prêt immobilier principal, non par une banque, mais par des organismes comme une mutuelle, une caisse de retraite, Action logement… Deux types de prêts sont proposés :
- Prêt accession pour les salariés : destiné à financer une résidence principale avec un taux réduit de 1 % pour un montant maximum de 30 000 euros. La durée du prêt est variable et peut aller jusqu’à 25 ans.
- Prêt pour aider les salariés du secteur agricole : destiné aux salariés ou aux retraités (depuis moins de 5 ans) du secteur agricole, avec un taux d’intérêt de 1,5 % pour un montant maximum de 40 000 euros.
Prêt subventionné par l’employeur
SOFIAP, une filiale de la Banque Postale et de la SNCF, propose un prêt immobilier dont le taux d’intérêt est partiellement ou totalement pris en charge par l’employeur. Il est présenté comme un outil de fidélisation durable permettant aux entreprises d’accompagner leurs salariés dans le financement de leur achat immobilier. Un autre argument utilisé par SOFIAP pour inciter les entreprises à faire un partenariat avec eux est l’occasion de renforcer la marque employeur et de répondre aux engagements en responsabilité sociale. Il peut être utilisé en complément aux autres aides citées ci-dessus.
Courtier immobilier innovant
De nouveaux modèles d’affaires apparaissent dans le secteur immobilier, comme celui de Virgil, qui se présente comme un co-investisseur dans les projets immobiliers. Il participe à hauteur de 20 % du prix d’achat jusqu’à un maximum de 100 000 euros. L’entreprise applique un ratio de 1,5 fois le montant investi. C’est-à-dire que si Virgil investit 10 % du budget à l’achat, il détient 15 % du bien et se rémunère à la revente. Si le bien n’est pas revendu au bout d’une dizaine d’années, le propriétaire peut racheter la part de Virgil.