Des lacunes dans les processus des entreprises entravent l’intégration des nouvelles technologies disruptives
Smart Industry signale que les processus lacunaires constituent un obstacle majeur à l’introduction progressive de l’intelligence artificielle (IA) dans les entreprises. Ce sont quelques-uns des constats que l’on peut trouver dans le document 2023 Process Optimization Report publié le 5 décembre par Celonis, une compagnie spécialisée dans la conception de processus qui a interrogé plus de 1 200 chefs d’entreprise du monde entier.
L’engagement dans la transformation numérique est plus que perceptible. Selon Celonis, la plupart des chefs d’entreprise (89 %), y compris ceux du secteur manufacturier, ont déclaré qu’ils étaient en train d’intégrer activement l’IA dans leurs opérations. Cependant, une majorité (72 %), y compris dans le secteur manufacturier, craint également que des lacunes dans les processus puissent entraver l’atteinte de cet objectif au cours des deux prochaines années.
Les déficits constatés dans les processus mettraient en relief, selon Celonis, la nécessité d’entreprendre une optimisation des processus ou de rationaliser les paramètres des équipements, les procédures d’exploitation et les processus de contrôle.
Aux dires d’Alex Rinke, cofondateur et PDG de Celonis, les technologies émergentes, dont l’IA, sont une priorité pour les entreprises. En même temps, les chefs d’entreprise en sont venus à comprendre que ce potentiel serait inaccessible si on néglige la qualité des processus.
Le rapport de Celonis ajoute qu’il y aurait de nombreux obstacles à la mise en place de processus plus solides, notamment la fragmentation organisationnelle, le cloisonnement des données et des systèmes informatiques, et les difficultés à les faire travailler ensemble qui en découlent. De ce fait, les gestionnaires ont de la difficulté à voir l’ensemble des processus.
D’ailleurs, le rapport de Celonis révèle également que :
- Plus de 80 % des personnes interrogées ont déclaré que les processus étaient cruciaux pour leur organisation;
- Presque tous (99 %) considèrent que l’optimisation des processus est un facteur critique pour atteindre leurs objectifs d’affaires;
- 81 % investissent, ou pensent le faire, dans des technologies susceptibles d’optimiser leurs processus au cours des trois prochaines années;
- 82 % des chefs d’entreprise interrogés estiment que l’optimisation des processus deviendra une discipline d’affaires incontournable au cours des cinq prochaines années;
- Enfin, 82 % des personnes interrogées pensent que l’optimisation des processus est un atout en période d’instabilité économique. Ils considéreraient que les processus sont un des moyens les plus rapides de réduire les dépenses et de maîtriser les flux de trésorerie.
De plus, le rapport de Celonis souligne qu’il y aurait cinq principaux facteurs favorisant l’optimisation des processus :
- L’intérêt pour l’exploitation des technologies émergentes telles que l’IA (70 %);
- La réduction des coûts (69 %);
- La compétitivité (64 %);
- La modification des attentes des clients (64 %);
- La conformité à la législation ou à la réglementation (64 %).
Smart Industry signale que les processus lacunaires constituent un obstacle majeur à l’introduction progressive de l’intelligence artificielle (IA) dans les entreprises. Ce sont quelques-uns des constats que l’on peut trouver dans le document 2023 Process Optimization Report publié le 5 décembre par Celonis, une compagnie spécialisée dans la conception de processus qui a interrogé plus de 1 200 chefs d’entreprise du monde entier.
L’engagement dans la transformation numérique est plus que perceptible. Selon Celonis, la plupart des chefs d’entreprise (89 %), y compris ceux du secteur manufacturier, ont déclaré qu’ils étaient en train d’intégrer activement l’IA dans leurs opérations. Cependant, une majorité (72 %), y compris dans le secteur manufacturier, craint également que des lacunes dans les processus puissent entraver l’atteinte de cet objectif au cours des deux prochaines années.
Les déficits constatés dans les processus mettraient en relief, selon Celonis, la nécessité d’entreprendre une optimisation des processus ou de rationaliser les paramètres des équipements, les procédures d’exploitation et les processus de contrôle.
Aux dires d’Alex Rinke, cofondateur et PDG de Celonis, les technologies émergentes, dont l’IA, sont une priorité pour les entreprises. En même temps, les chefs d’entreprise en sont venus à comprendre que ce potentiel serait inaccessible si on néglige la qualité des processus.
Le rapport de Celonis ajoute qu’il y aurait de nombreux obstacles à la mise en place de processus plus solides, notamment la fragmentation organisationnelle, le cloisonnement des données et des systèmes informatiques, et les difficultés à les faire travailler ensemble qui en découlent. De ce fait, les gestionnaires ont de la difficulté à voir l’ensemble des processus.
D’ailleurs, le rapport de Celonis révèle également que :
- Plus de 80 % des personnes interrogées ont déclaré que les processus étaient cruciaux pour leur organisation;
- Presque tous (99 %) considèrent que l’optimisation des processus est un facteur critique pour atteindre leurs objectifs d’affaires;
- 81 % investissent, ou pensent le faire, dans des technologies susceptibles d’optimiser leurs processus au cours des trois prochaines années;
- 82 % des chefs d’entreprise interrogés estiment que l’optimisation des processus deviendra une discipline d’affaires incontournable au cours des cinq prochaines années;
- Enfin, 82 % des personnes interrogées pensent que l’optimisation des processus est un atout en période d’instabilité économique. Ils considéreraient que les processus sont un des moyens les plus rapides de réduire les dépenses et de maîtriser les flux de trésorerie.
De plus, le rapport de Celonis souligne qu’il y aurait cinq principaux facteurs favorisant l’optimisation des processus :
- L’intérêt pour l’exploitation des technologies émergentes telles que l’IA (70 %);
- La réduction des coûts (69 %);
- La compétitivité (64 %);
- La modification des attentes des clients (64 %);
- La conformité à la législation ou à la réglementation (64 %).