De nouvelles stratégies pour gérer l’incertitude des chaînes d’approvisionnement
Un article de MH&L commente les nouvelles stratégies que mettent en place les entreprises pour s’adapter aux dynamiques changeantes des chaînes d’approvisionnement mondiales sous l’emprise des nouvelles technologies et de multiples facteurs géopolitiques.
En effet, des percées technologiques comme l’automatisation, l’intelligence artificielle (IA) et la chaîne de blocs ont la capacité d’accroître grandement l’efficacité et de réduire les erreurs. De leur côté, les analyses basées sur l’IA peuvent améliorer la prévision de la demande et la gestion des stocks. Un exemple parlant est celui de l’automatisation des entrepôts, où les systèmes robotiques réduisent les erreurs humaines et accélèrent le traitement des commandes.
En outre, le poids des facteurs géopolitiques, comme les perturbations dans la mer Rouge, ou l’influence des processus électoraux clés – aux États-Unis, en Inde, au Brésil, en Allemagne, en Russie et au Japon – est un aspect à considérer dans la proposition de nouvelles politiques commerciales. Enfin, les nouvelles exigences de flexibilité imposées par la pandémie ou les conséquences de la mise en place de nouveaux tarifs sont d’autres facteurs qui devraient exercer une pression supplémentaire sur les chaînes d’approvisionnement.
Pour réussir dans un environnement aussi incertain, l’article propose une série de stratégies :
La diversification et la redondance
La diversification de la base de fournisseurs devrait donner aux entreprises un avantage concurrentiel dans leur chaîne d’approvisionnement. Par exemple, l’approche « Chine+1/Chine+2 » prévoit la possibilité pour une entreprise de s’approvisionner auprès d’un ou plusieurs pays supplémentaires aux côtés de la Chine. Cela peut contribuer à réduire la dépendance à l’égard d’une seule région et à améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement.
La prise de décision basée sur les données
L’obtention d’informations en temps réel grâce à l’analyse des données peut améliorer la visibilité et la réactivité de la chaîne d’approvisionnement. Le suivi étroit des niveaux de stocks, la prévision de la demande et l’optimisation des itinéraires logistiques permettraient aux entreprises de mieux anticiper les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et d’y introduire des ajustements proactifs.
La planification efficace de la demande
Des techniques telles que la planification de scénarios et la gestion dynamique des stocks permettraient aux entreprises d’anticiper les fluctuations de la demande et d’éviter les goulots d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement.
L’innovation et la flexibilité
L’adoption de nouvelles technologies disruptives comme l’Internet des objets et la flexibilité opérationnelle sont essentielles pour améliorer les opérations de la chaîne d’approvisionnement. L’augmentation de l’efficacité et la compétitivité qui en résulte sont des éléments qui doivent être apprivoisés par une culture d’innovation et d’amélioration continue.
Une meilleure collaboration
Par le biais de partenariats solides avec les fournisseurs et les prestataires logistiques, il serait possible d’améliorer les performances globales de la chaîne d’approvisionnement. Puisque la collaboration efficace repose sur la confiance, on suggère la mise en place de plateformes collaboratives et de systèmes de données partagées, transparentes et fiables.
Un article de MH&L commente les nouvelles stratégies que mettent en place les entreprises pour s’adapter aux dynamiques changeantes des chaînes d’approvisionnement mondiales sous l’emprise des nouvelles technologies et de multiples facteurs géopolitiques.
En effet, des percées technologiques comme l’automatisation, l’intelligence artificielle (IA) et la chaîne de blocs ont la capacité d’accroître grandement l’efficacité et de réduire les erreurs. De leur côté, les analyses basées sur l’IA peuvent améliorer la prévision de la demande et la gestion des stocks. Un exemple parlant est celui de l’automatisation des entrepôts, où les systèmes robotiques réduisent les erreurs humaines et accélèrent le traitement des commandes.
En outre, le poids des facteurs géopolitiques, comme les perturbations dans la mer Rouge, ou l’influence des processus électoraux clés – aux États-Unis, en Inde, au Brésil, en Allemagne, en Russie et au Japon – est un aspect à considérer dans la proposition de nouvelles politiques commerciales. Enfin, les nouvelles exigences de flexibilité imposées par la pandémie ou les conséquences de la mise en place de nouveaux tarifs sont d’autres facteurs qui devraient exercer une pression supplémentaire sur les chaînes d’approvisionnement.
Pour réussir dans un environnement aussi incertain, l’article propose une série de stratégies :
La diversification et la redondance
La diversification de la base de fournisseurs devrait donner aux entreprises un avantage concurrentiel dans leur chaîne d’approvisionnement. Par exemple, l’approche « Chine+1/Chine+2 » prévoit la possibilité pour une entreprise de s’approvisionner auprès d’un ou plusieurs pays supplémentaires aux côtés de la Chine. Cela peut contribuer à réduire la dépendance à l’égard d’une seule région et à améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement.
La prise de décision basée sur les données
L’obtention d’informations en temps réel grâce à l’analyse des données peut améliorer la visibilité et la réactivité de la chaîne d’approvisionnement. Le suivi étroit des niveaux de stocks, la prévision de la demande et l’optimisation des itinéraires logistiques permettraient aux entreprises de mieux anticiper les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et d’y introduire des ajustements proactifs.
La planification efficace de la demande
Des techniques telles que la planification de scénarios et la gestion dynamique des stocks permettraient aux entreprises d’anticiper les fluctuations de la demande et d’éviter les goulots d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement.
L’innovation et la flexibilité
L’adoption de nouvelles technologies disruptives comme l’Internet des objets et la flexibilité opérationnelle sont essentielles pour améliorer les opérations de la chaîne d’approvisionnement. L’augmentation de l’efficacité et la compétitivité qui en résulte sont des éléments qui doivent être apprivoisés par une culture d’innovation et d’amélioration continue.
Une meilleure collaboration
Par le biais de partenariats solides avec les fournisseurs et les prestataires logistiques, il serait possible d’améliorer les performances globales de la chaîne d’approvisionnement. Puisque la collaboration efficace repose sur la confiance, on suggère la mise en place de plateformes collaboratives et de systèmes de données partagées, transparentes et fiables.