Comment réduire l'empreinte carbone numérique des entreprises?
Un article publié par Les Affaires donne quelques stratégies aux entreprises pour diminuer leur empreinte carbone numérique.
- Moins de vidéos. Il semblerait que la caméra est responsable de 96 % de l'empreinte carbone et eau lors des réunions virtuelles. Des chercheurs américains rapportent qu'une heure de vidéoconférence génère entre 150 et 1 000 grammes de CO2 et nécessite jusqu'à 12 litres d'eau. De ce fait, on estime que 80 % des émissions de GES provenant du numérique découlent de l'utilisation des vidéos. On peut consommer moins en n'activant pas la résolution HD de la caméra ou en utilisant un écran moins énergivore. Les utilisateurs peuvent également fermer leur caméra et écouter la rencontre en audio.
- Mieux utiliser le courriel. D'après les données, un courriel génère environ 4 g de CO2. Dépendamment de la taille de la pièce jointe, les émissions peuvent atteindre 50 g. On conseille d'être clair et concis dans les courriels pour éviter d'en envoyer beaucoup et de se désabonner des listes de diffusion qu'on ne consulte pas. En outre, on peut utiliser la messagerie instantanée au lieu des courriels et supprimer les courriels dont on n'a plus besoin. Il semblerait également que les plateformes de partage comme WeTransfer soient moins énergivores, et il est conseillé de les utiliser pour les pièces jointes.
- Faire durer le matériel. Il faut songer à réparer certains appareils afin d'en prolonger l'usage. Si l'entreprise décide d'acheter du matériel neuf, il faudrait vérifier que les caractéristiques répondent à ses besoins à long terme. Aussi, il faudrait voir si des équipements remis à neuf ne feraient pas l'affaire. De plus, des programmes comme Ordinateurs pour les écoles du Québec peuvent être utilisés pour récupérer l'équipement informatique et le distribuer aux écoles.
- Choisir des serveurs et des centres de données verts. Il a été rapporté que les centres de données consommaient 1 % de l'électricité mondiale et représentaient 0,3 % des émissions de CO2. Utiliser de l'énergie renouvelable pour alimenter ces centres pourrait réduire l'empreinte carbone qu'ils génèrent.
- L'écoconception. Il y a des développeurs de solutions numériques qui utilisent des approches visant à en réduire l'impact environnemental. Les entreprises gagneraient à se rapprocher de ces développeurs pour acquérir des produits moins énergivores.
Un article publié par Les Affaires donne quelques stratégies aux entreprises pour diminuer leur empreinte carbone numérique.
- Moins de vidéos. Il semblerait que la caméra est responsable de 96 % de l'empreinte carbone et eau lors des réunions virtuelles. Des chercheurs américains rapportent qu'une heure de vidéoconférence génère entre 150 et 1 000 grammes de CO2 et nécessite jusqu'à 12 litres d'eau. De ce fait, on estime que 80 % des émissions de GES provenant du numérique découlent de l'utilisation des vidéos. On peut consommer moins en n'activant pas la résolution HD de la caméra ou en utilisant un écran moins énergivore. Les utilisateurs peuvent également fermer leur caméra et écouter la rencontre en audio.
- Mieux utiliser le courriel. D'après les données, un courriel génère environ 4 g de CO2. Dépendamment de la taille de la pièce jointe, les émissions peuvent atteindre 50 g. On conseille d'être clair et concis dans les courriels pour éviter d'en envoyer beaucoup et de se désabonner des listes de diffusion qu'on ne consulte pas. En outre, on peut utiliser la messagerie instantanée au lieu des courriels et supprimer les courriels dont on n'a plus besoin. Il semblerait également que les plateformes de partage comme WeTransfer soient moins énergivores, et il est conseillé de les utiliser pour les pièces jointes.
- Faire durer le matériel. Il faut songer à réparer certains appareils afin d'en prolonger l'usage. Si l'entreprise décide d'acheter du matériel neuf, il faudrait vérifier que les caractéristiques répondent à ses besoins à long terme. Aussi, il faudrait voir si des équipements remis à neuf ne feraient pas l'affaire. De plus, des programmes comme Ordinateurs pour les écoles du Québec peuvent être utilisés pour récupérer l'équipement informatique et le distribuer aux écoles.
- Choisir des serveurs et des centres de données verts. Il a été rapporté que les centres de données consommaient 1 % de l'électricité mondiale et représentaient 0,3 % des émissions de CO2. Utiliser de l'énergie renouvelable pour alimenter ces centres pourrait réduire l'empreinte carbone qu'ils génèrent.
- L'écoconception. Il y a des développeurs de solutions numériques qui utilisent des approches visant à en réduire l'impact environnemental. Les entreprises gagneraient à se rapprocher de ces développeurs pour acquérir des produits moins énergivores.