C’est le temps de profiter du potentiel économique des friches industrielles
Faisant référence aux données de l’Agence de protection de l’environnement américaine (EPA), le RMI signale qu’il y aurait plus de 450 000 friches industrielles un peu partout aux États-Unis. Pour un grand nombre de communautés, elles sont le rappel quotidien d’une productivité révolue, soulignant la nécessité de réaménager des sites qui peuvent présenter des risques pour la santé et la sécurité.
Selon le livre Neighbourhood in Transition, ces friches sont emblématiques des changements technologiques de l’ère post-industrielle. Elles sont la conséquence de la disparition d’activités obsolètes, de la relocalisation de certaines fonctions, de l’automatisation de la production et d’autres changements qui ont créé un décalage entre les besoins fonctionnels d’une communauté et leur extension spatiale. Il est à noter que ces friches urbaines ont pu accueillir par le passé des entreprises ferroviaires, militaires, portuaires, logistiques, infrastructurelles, commerciales ou énergétiques.
Selon un article scientifique, l’EPA définit une friche industrielle, ou « site industriel désaffecté », comme « un bien immobilier dont l’expansion, le réaménagement ou la réutilisation peuvent être compliqués par la présence avérée ou potentielle d’une substance dangereuse, d’un polluant ou d’un contaminant ».
Ces sites représentent, selon l’article, un défi environnemental de taille, car les toxines présentes sur le terrain continuent d’avoir un impact sur la qualité de l’air et de l’eau et, par conséquent, sur la santé humaine. Il y a donc un problème de justice environnementale en raison de la gamme de dangers potentiels associés à ces terres. Qui plus est, ces sites peuvent éventuellement devenir propices au déversement illégal de déchets dangereux. En raison de ces contraintes, il y a peu d’intérêt à investir dans leur développement économique, la valeur des propriétés environnantes diminue, et souvent, la valeur esthétique d’une communauté est fortement compromise.
Selon le livre, la régénération de ces friches offre pourtant la chance cruciale d’atténuer l’étalement urbain, d’augmenter la densité au sein du tissu bâti existant – en particulier lorsqu’il est situé à proximité des transports publics – et de revitaliser des quartiers de zones métropolitaines.
On trouve des propos semblables dans une publication de l’EPA qui précise que le nettoyage et le réaménagement d’une friche industrielle permettraient un développement dit « intercalaire », c’est-à-dire, une option de rechange à l’étalement urbain. La mise en valeur de terrains sous-utilisés ou vacants dans les zones urbaines existantes permettrait d’augmenter la densité et de placer de nouveaux lotissements à proximité des ressources et des infrastructures existantes. Ce type de développement aurait donc des effets positifs sur l’assiette fiscale, stimulant la création d’emplois tout en relançant, souvent, des activités de revitalisation d’un quartier.
La publication de l’EPA souligne que, tout dépendant de l’emplacement et des caractéristiques de la propriété et des facteurs du marché, une friche industrielle peut souvent être réaménagée pour des utilisations diverses allant du logement, du commerce de détail, de l’industrie ou d’un usage mixte à des utilisations publiques et à but non lucratif telles que des parcs, des zones de loisirs et des installations municipales.
Faisant référence aux données de l’Agence de protection de l’environnement américaine (EPA), le RMI signale qu’il y aurait plus de 450 000 friches industrielles un peu partout aux États-Unis. Pour un grand nombre de communautés, elles sont le rappel quotidien d’une productivité révolue, soulignant la nécessité de réaménager des sites qui peuvent présenter des risques pour la santé et la sécurité.
Selon le livre Neighbourhood in Transition, ces friches sont emblématiques des changements technologiques de l’ère post-industrielle. Elles sont la conséquence de la disparition d’activités obsolètes, de la relocalisation de certaines fonctions, de l’automatisation de la production et d’autres changements qui ont créé un décalage entre les besoins fonctionnels d’une communauté et leur extension spatiale. Il est à noter que ces friches urbaines ont pu accueillir par le passé des entreprises ferroviaires, militaires, portuaires, logistiques, infrastructurelles, commerciales ou énergétiques.
Selon un article scientifique, l’EPA définit une friche industrielle, ou « site industriel désaffecté », comme « un bien immobilier dont l’expansion, le réaménagement ou la réutilisation peuvent être compliqués par la présence avérée ou potentielle d’une substance dangereuse, d’un polluant ou d’un contaminant ».
Ces sites représentent, selon l’article, un défi environnemental de taille, car les toxines présentes sur le terrain continuent d’avoir un impact sur la qualité de l’air et de l’eau et, par conséquent, sur la santé humaine. Il y a donc un problème de justice environnementale en raison de la gamme de dangers potentiels associés à ces terres. Qui plus est, ces sites peuvent éventuellement devenir propices au déversement illégal de déchets dangereux. En raison de ces contraintes, il y a peu d’intérêt à investir dans leur développement économique, la valeur des propriétés environnantes diminue, et souvent, la valeur esthétique d’une communauté est fortement compromise.
Selon le livre, la régénération de ces friches offre pourtant la chance cruciale d’atténuer l’étalement urbain, d’augmenter la densité au sein du tissu bâti existant – en particulier lorsqu’il est situé à proximité des transports publics – et de revitaliser des quartiers de zones métropolitaines.
On trouve des propos semblables dans une publication de l’EPA qui précise que le nettoyage et le réaménagement d’une friche industrielle permettraient un développement dit « intercalaire », c’est-à-dire, une option de rechange à l’étalement urbain. La mise en valeur de terrains sous-utilisés ou vacants dans les zones urbaines existantes permettrait d’augmenter la densité et de placer de nouveaux lotissements à proximité des ressources et des infrastructures existantes. Ce type de développement aurait donc des effets positifs sur l’assiette fiscale, stimulant la création d’emplois tout en relançant, souvent, des activités de revitalisation d’un quartier.
La publication de l’EPA souligne que, tout dépendant de l’emplacement et des caractéristiques de la propriété et des facteurs du marché, une friche industrielle peut souvent être réaménagée pour des utilisations diverses allant du logement, du commerce de détail, de l’industrie ou d’un usage mixte à des utilisations publiques et à but non lucratif telles que des parcs, des zones de loisirs et des installations municipales.