Bâtir la chaîne d’approvisionnement du futur
La chaîne d’approvisionnement est devenue un sujet de discussion majeur dans les conseils d’administration, amplifié par les pénuries de matières premières et les augmentations de coûts liées à la pandémie.
Le document suivant fait partie de la série Build for the Future du Boston Consulting Group (BCG), basée sur trois années de recherche menée sur les transformations numériques dans de grandes organisations du monde entier.
Les chaînes d’approvisionnement performantes pourront résister à diverses perturbations, telles que la fluctuation de la demande, les taux d’intérêt élevés, les mesures commerciales, les catastrophes naturelles et les pénuries de main-d’œuvre. Elles pourront affronter les microtendances concernant les décisions de faire ou d’acheter, l’évaluation des risques internes, la maturité numérique interne et les partenariats avec les fournisseurs. En outre, elles stimuleront l’innovation, inspireront de nouveaux modèles d’affaires et fourniront un avantage concurrentiel notable. Voici ce que montrent les recherches du BCG :
- La chaîne d’approvisionnement est l’un des principaux facteurs de coût dans les industries à forte intensité d’investissement telles que les soins de santé, les biens industriels, les biens de consommation courants et l’énergie; par conséquent, elle recèle un potentiel énorme pour générer de la valeur.
- Trois éléments clés garantissent le succès futur des chaînes d’approvisionnement : la numérisation (y compris l’intelligence artificielle [IA] et l’apprentissage automatique [AA]), la résilience (la capacité à la fois d’absorber les chocs et de récupérer rapidement) et la durabilité environnementale (y compris les engagements liés aux critères environnementaux, sociaux et de gouvernance [ESG] et à la carboneutralité). Néanmoins, les priorités traditionnelles de la chaîne d’approvisionnement telles que la réduction des coûts, l’agilité et la qualité du service restent essentielles au succès.
- La numérisation est particulièrement importante pour les entreprises qui cherchent à devenir des chefs de file de la chaîne d’approvisionnement, et celles-ci doivent surmonter des obstacles pour intensifier leurs efforts. De nombreuses entreprises investissent massivement dans une transformation axée sur l’IA et l’AA, mais n’exploitent pas pleinement sa valeur potentielle à grande échelle. De plus, les entreprises avancées adoptent rapidement l’IA générative pour des cas d’utilisation tout au long de la chaîne d’approvisionnement.
- Une chaîne d’approvisionnement résiliente nécessite un programme complet pour mieux gérer les chocs. Un tel programme comprend la conception du réseau et des produits, la stratégie d’approvisionnement et la planification. Et elle doit être capable, grâce à la surveillance, à la prévision et à la réponse aux crises, d’agir rapidement en cas de perturbation.
- Les chaînes d’approvisionnement sont essentielles aux engagements liés aux critères ESG et à la carboneutralité. Huit chaînes d’approvisionnement industrielles sont responsables de plus de 50 % des émissions mondiales de carbone.
La chaîne d’approvisionnement est devenue un sujet de discussion majeur dans les conseils d’administration, amplifié par les pénuries de matières premières et les augmentations de coûts liées à la pandémie.
Le document suivant fait partie de la série Build for the Future du Boston Consulting Group (BCG), basée sur trois années de recherche menée sur les transformations numériques dans de grandes organisations du monde entier.
Les chaînes d’approvisionnement performantes pourront résister à diverses perturbations, telles que la fluctuation de la demande, les taux d’intérêt élevés, les mesures commerciales, les catastrophes naturelles et les pénuries de main-d’œuvre. Elles pourront affronter les microtendances concernant les décisions de faire ou d’acheter, l’évaluation des risques internes, la maturité numérique interne et les partenariats avec les fournisseurs. En outre, elles stimuleront l’innovation, inspireront de nouveaux modèles d’affaires et fourniront un avantage concurrentiel notable. Voici ce que montrent les recherches du BCG :
- La chaîne d’approvisionnement est l’un des principaux facteurs de coût dans les industries à forte intensité d’investissement telles que les soins de santé, les biens industriels, les biens de consommation courants et l’énergie; par conséquent, elle recèle un potentiel énorme pour générer de la valeur.
- Trois éléments clés garantissent le succès futur des chaînes d’approvisionnement : la numérisation (y compris l’intelligence artificielle [IA] et l’apprentissage automatique [AA]), la résilience (la capacité à la fois d’absorber les chocs et de récupérer rapidement) et la durabilité environnementale (y compris les engagements liés aux critères environnementaux, sociaux et de gouvernance [ESG] et à la carboneutralité). Néanmoins, les priorités traditionnelles de la chaîne d’approvisionnement telles que la réduction des coûts, l’agilité et la qualité du service restent essentielles au succès.
- La numérisation est particulièrement importante pour les entreprises qui cherchent à devenir des chefs de file de la chaîne d’approvisionnement, et celles-ci doivent surmonter des obstacles pour intensifier leurs efforts. De nombreuses entreprises investissent massivement dans une transformation axée sur l’IA et l’AA, mais n’exploitent pas pleinement sa valeur potentielle à grande échelle. De plus, les entreprises avancées adoptent rapidement l’IA générative pour des cas d’utilisation tout au long de la chaîne d’approvisionnement.
- Une chaîne d’approvisionnement résiliente nécessite un programme complet pour mieux gérer les chocs. Un tel programme comprend la conception du réseau et des produits, la stratégie d’approvisionnement et la planification. Et elle doit être capable, grâce à la surveillance, à la prévision et à la réponse aux crises, d’agir rapidement en cas de perturbation.
- Les chaînes d’approvisionnement sont essentielles aux engagements liés aux critères ESG et à la carboneutralité. Huit chaînes d’approvisionnement industrielles sont responsables de plus de 50 % des émissions mondiales de carbone.