Baisse du taux du chômage mondial selon l’OIT
Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) indique que le taux de chômage mondial devrait diminuer à 4,9 % en 2024, alors qu’il était prévu à 5,2 % cette année. Pour 2025, l’OIT prévoit une stabilisation de ce taux à 4,9 %, selon les prévisions révisées. Malgré ces prévisions optimistes, les inégalités sur le marché du travail persistent, notamment pour les femmes des pays à faible revenu.
De plus, L’OIT estime que 402 millions de personnes seront touchées par le déficit d’emploi, dont 183 millions de personnes désignées comme chômeuses. En effet, le déficit pour les femmes des pays à faible revenu est de 22,8 %, contre 15,3 % pour les hommes. Dans les pays à revenu élevé, le taux est de 9,7 % pour les femmes et 7,3 % pour les hommes. Globalement, 45,6 % des femmes en âge de travailler auront un emploi en 2024, contre 69,2 % des hommes.
Un autre article de l’ONU Info rapporte que le taux de chômage chez les jeunes était au plus bas depuis 15 ans en 2023, à 13 %. Ce taux devrait se stabiliser autour de 12,8 % pour les années 2024 et 2025. Cette baisse est attribuée à l’amélioration des perspectives du marché du travail pour les jeunes au cours des quatre dernières années. Cependant, plus de la moitié des jeunes occupent des emplois informels. Ce n’est que dans les économies à revenu élevé et moyen supérieur que la majorité des jeunes travailleurs occupent un emploi permanent. Toutefois, le taux de chômage chez les jeunes était presque égal entre les femmes (12,9 %) et les hommes (13 %). En 2023, 20,4 % des jeunes n’étaient ni en emploi, ni aux études, ni en formation (NEET), les deux tiers des membres de cette catégorie étant des femmes.
Le taux de chômage est un indicateur clé de performance économique, surveillé de près. Son impact dépasse les personnes sans emploi, car les répercussions sont ressenties sur l’ensemble de l’économie. Lorsque les travailleurs sont au chômage, leurs familles perdent leur revenu et la nation perd leur contribution à l’économie en termes de biens ou de services qui auraient pu être produits. Les chômeurs perdent également leur pouvoir d’achat, ce qui peut entraîner le chômage d’autres travailleurs, créant ainsi un effet de cascade qui se répercute sur l’ensemble de l’économie.
De ce fait, même ceux qui sont en emploi pourraient être touchés par le chômage. Un article d’Investopedia explique comment le taux de chômage affecte toutes les sphères d’une économie. Par exemple, le chômage élevé est problématique pour l’économie américaine, où environ 70 % du PIB provient des dépenses de consommation. Les chômeurs consomment beaucoup moins, ayant moins de revenus discrétionnaires. Un autre article mentionne que le chômage accru peut entraîner des appels au protectionnisme et à des restrictions sur l’immigration, ce qui peut nuire au bien-être économique global. Le chômage peut également entraîner des paiements plus élevés de la part des gouvernements des États et du gouvernement fédéral pour les allocations de chômage, l’aide alimentaire, etc.
Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) indique que le taux de chômage mondial devrait diminuer à 4,9 % en 2024, alors qu’il était prévu à 5,2 % cette année. Pour 2025, l’OIT prévoit une stabilisation de ce taux à 4,9 %, selon les prévisions révisées. Malgré ces prévisions optimistes, les inégalités sur le marché du travail persistent, notamment pour les femmes des pays à faible revenu.
De plus, L’OIT estime que 402 millions de personnes seront touchées par le déficit d’emploi, dont 183 millions de personnes désignées comme chômeuses. En effet, le déficit pour les femmes des pays à faible revenu est de 22,8 %, contre 15,3 % pour les hommes. Dans les pays à revenu élevé, le taux est de 9,7 % pour les femmes et 7,3 % pour les hommes. Globalement, 45,6 % des femmes en âge de travailler auront un emploi en 2024, contre 69,2 % des hommes.
Un autre article de l’ONU Info rapporte que le taux de chômage chez les jeunes était au plus bas depuis 15 ans en 2023, à 13 %. Ce taux devrait se stabiliser autour de 12,8 % pour les années 2024 et 2025. Cette baisse est attribuée à l’amélioration des perspectives du marché du travail pour les jeunes au cours des quatre dernières années. Cependant, plus de la moitié des jeunes occupent des emplois informels. Ce n’est que dans les économies à revenu élevé et moyen supérieur que la majorité des jeunes travailleurs occupent un emploi permanent. Toutefois, le taux de chômage chez les jeunes était presque égal entre les femmes (12,9 %) et les hommes (13 %). En 2023, 20,4 % des jeunes n’étaient ni en emploi, ni aux études, ni en formation (NEET), les deux tiers des membres de cette catégorie étant des femmes.
Le taux de chômage est un indicateur clé de performance économique, surveillé de près. Son impact dépasse les personnes sans emploi, car les répercussions sont ressenties sur l’ensemble de l’économie. Lorsque les travailleurs sont au chômage, leurs familles perdent leur revenu et la nation perd leur contribution à l’économie en termes de biens ou de services qui auraient pu être produits. Les chômeurs perdent également leur pouvoir d’achat, ce qui peut entraîner le chômage d’autres travailleurs, créant ainsi un effet de cascade qui se répercute sur l’ensemble de l’économie.
De ce fait, même ceux qui sont en emploi pourraient être touchés par le chômage. Un article d’Investopedia explique comment le taux de chômage affecte toutes les sphères d’une économie. Par exemple, le chômage élevé est problématique pour l’économie américaine, où environ 70 % du PIB provient des dépenses de consommation. Les chômeurs consomment beaucoup moins, ayant moins de revenus discrétionnaires. Un autre article mentionne que le chômage accru peut entraîner des appels au protectionnisme et à des restrictions sur l’immigration, ce qui peut nuire au bien-être économique global. Le chômage peut également entraîner des paiements plus élevés de la part des gouvernements des États et du gouvernement fédéral pour les allocations de chômage, l’aide alimentaire, etc.